Lorenzaccio VII, 32 2022-2023 Du mont Royal naistra
d'une casane, Qui cave, et compte viendra tyranniser: Dresser copie de la marche Millane, Favene, Florence d'or et gens espuiser. "casane" : Enfants de paysans casanicus
: latin "de la ferme" (Gaffiot). Johanna Maria (Jeanne) van der Gheynst
était la mère de Marguerite de Parme, la fille naturelle de Charles-Quint.
Fille de Gilles Johan van der Gheynst, d'ascendance
paysanne, et de son épouse Johanna van der Caye van Cocambi
qui était servante, elle était servante dans la maison du gouverneur
d'Audenarde, Charles de Lalaing (†1525) lorsque
celui-ci reçut et hébergea l'empereur Charles Quint. Pendant son séjour, ce
dernier la remarqua et - à la suite d'un stratagème de son entourage qui drogua
la jeune femme - la mit enceinte. Johanna quitta la maison de Lalaing et fut hébergée dans la famille de sa mère, au-dehors
d'Audenarde. En juillet 1522 naquit une fille qui fut baptisée à l'Église
Notre-Dame de Pamele (nl) Ã
Audenarde et reçut le prénom de Margaretha (Marguerite) comme la tante
paternelle et mère adoptive de l'empereur, sœur de Philippe le Beau et
gouvernante des Pays-Bas. Deux ans plus tard, Johanna fut mariée à Jehan van
den Dijcke, seigneur de Santvliet.
Ils eurent ensemble huit enfants. Quant à sa fille, l'enfant de Charles-Quint,
elle fut élevée chez André Douvrin et fut connue plus tard sous le nom de
Marguerite de Parme. En 1533, elle reçoit en dot les fiefs de Penne, Campli, Leonessa, Cittaducale et Montereale et elle
est promise à Alexandre de Médicis dit Alexandre le Maure, duc de Toscane,
suivant l'accord passé à Barcelone entre l'Empereur et le pape Clément VII.
Leur mariage, célébré le 18 janvier 1536, n'est pas heureux à cause du
caractère d'Alexandre. Il n'y aura pas de descendance. En 1537, Alexandre est
assassiné par son cousin Lorenzino de Médicis et
Marguerite est de nouveau libre. Alexandre est le fils illégitime de Laurent II de
Médicis, père de Catherine de Médicis, et arrière-petit-fils de Laurent le
Magnifique. Mais pour beaucoup, il pourrait être le fils naturel du cardinal
Jules de Médicis qui deviendra, plus tard, le pape Clément VII. On ne sait pas
s'il était mulâtre, peut-être né de la relation entre Jules et une servante
mulâtresse de la famille des Médicis identifiée dans les documents comme Simonetta de Collevecchio (Collevecchio en Sabine) ; d'autres sources indiquent que sa
mère est une paysanne de la campagne romaine. Quoi qu'il en soit, en raison de
la couleur de sa peau, il reçoit le surnom de « Le Maure ». Avec la
capitulation de la République florentine et par suite de l'accord conclu entre
l'empereur Charles Quint et le pape Clément VII, soutenu par les armes
espagnoles, il devient le nouveau maître de Florence. Après avoir pris le
pouvoir, Alexandre commence à rénover les institutions républicaines alors que
le traité de reddition de la ville lui imposait de les respecter. Son lointain
cousin et successeur, Cosme Ier, les transformera définitivement. Ayant
toujours vécu à la cour impériale de Charles Quint, Alexandre en apporte les
usages à Florence, notamment celui de s'entourer de lansquenets armés de
hallebardes, qui effrayent et déconcertent les Florentins. Il commence à donner
un caractère « princier » à sa gouvernance et élimine les symboles, chers aux
Florentins, des institutions communales. Entre autres initiatives, il charge
Benvenuto Cellini (qui en parle dans son autobiographie) de préparer, à son
effigie, une monnaie de taille différente du florin. Alexandre exige aussi, encore
une fois contre tous les traités, la réquisition des armes détenues par les
citoyens. Il périra cependant peu de temps après, assassiné par son cousin Lorenzino de Médicis avec qui il entretenait une relation peu
claire, que certains conseillers - Cellini le relate - jugeaient
"morbide". Avec le duché, les institutions florentines connaissent
pourtant un semblant de démocratie notamment au travers d'un symbolique «
conseil des deux cents » et d'un Sénat (1532) composé de quarante-huit membres
nommés à vie. Charles-Quint s'expliqua, et donna pour chef à la
république Alexandre de Médicis, neveu ou même fils naturel de Clément VII. La
décision de l'empereur ne sembla pas d'abord opérer de révolution dans l'Êtat; la liberté et les formes républicaines furent
maintenues en apparence, et la maison de Médicis ne parut avoir recouvré que
les prérogatives dont elle jouissait avant 1527 ; mais le pape était peu
satisfait de cette autorité limitée, ceux qui l'avaient servi dans ses
vengeances n'étaient pas tranquilles; il se prépara dans l'ombre une nouvelle
révolution, dont Guicciardini fut l'un des plus ardents
promoteurs. Au commencement de 1532, le gonfaloniérat
fut aboli ainsi que la seigneurie ; Alexandre de Médicis fut déclaré chef et
prince de l'Etat avec le titre de duc, transmissible à perpétuité à ses
descendants par ordre de primogéniture ; deux conseils nommés à vie partagèrent
avec lui, mais pour la forme seulement, le soin du gouvernement; il fut dès
lors souverain absolu. Alexandre, comme lous les souverains élablis par
la force, devint le tyran de sa patrie; il s'entoura de soldats étrangers, et
fit jeter les fondements d'un citadelle pour contenir
la ville. Inquiet et
soupçonneux, il étendit ses cruautés sur ceux même qui avaient contribué à son
élévation. Aussi, à la mort de Clément VII, se trouva-t-il entouré d'ennemis d'autant plus redoutables,
qu'ils étaient soutenus par le nouveau pape Paul III, de la maison Farnèse. Les
émigrés florentins allèrent à Naples plaider leur cause devant l'empereur ;
Alexandre s'y rendit lui-même pour s'y défendre (1535). Sur ces entrefaites,
François Sforza, duc de Milan, vint à mourir, et son frère naturel, qui avait
quelque prétention à lui succéder, fut empoisonné à son passage à Florence
Cette mort, qui réveillait toutes les prétentions de François Ier, trancha
la question en faveur d'Alexandre; la guerre allait recommencer entre
l'Autriche et la France : Médicis promettait de l'argent, et sa fidélité était
assurée, tandis que la république de Florence, si elle était rétablie, suivrait
infailliblement son penchant pour la France. Charles-Quint n'hésita plus entre
les deux partis; il donna sa fille naturelle, Marguerite d'Autriche, en mariage
à Alexandre, reçut de lui, en retour, une sorte somme
d'argent, et le renvoya dans ses États, plus puissant que jamais. L'empereur
avait prononcé une amnistie en faveur des émigrés florentins ; mais, comme
aucun changement n'était apporté au gouvernement, comme
aucune garantie n'était donnée au peuple, ils rejetèrent une grâce qui les
sauvait à peine, et qui sacrifiait leur patrie La huitième guerre d'Italie commence en 1535. Au début des années 1530, François Ier préfère soutenir
les ennemis de l'Empereur, comme la ligue des princes protestants allemands
(ligue de Smalkalde) ou l'Empire ottoman, avec lequel il fera plusieurs fois
alliance. Charles Quint, au contraire, se présente de plus en plus comme le
défenseur de la foi. En juin 1535, il reprend quelques villes de la Tunisie et,
une année plus tard, le 5 avril 1536, il fait une entrée triomphale à Rome,
accueilli par le pape Paul III. L'empereur et le pape conviennent de
l'organisation d'un concile pour ramener les princes protestants allemands dans
le giron catholique. François Ier n'en
veut pas et avait profité de la mort du duc de Milan, le 1er novembre 1535,
pour revendiquer l'héritage du duché. Au début de l'année 1536, 40 000
soldats français envahissent la Savoie et s'arrêtent à la frontière lombarde,
François Ier espérant trouver une solution négociée. La Savoie et le Piémont
resteront possession française jusqu'en 1559. En février, le roi de France
parvient à signer un traité d'alliance avec le sultan ottoman. Charles Quint
envahit la Provence en juin 1536. L'armée française doit battre en retraite,
mais Montmorency inaugure la politique de la terre brûlée. Une offensive des
Impériaux en Picardie est arrêtée par les Français. En septembre, les Espagnols
doivent quitter la France sans avoir livré la moindre bataille. Trêves
éphémères et conflits se succèdent sans résultats, l'Italie devenant de moins
en moins importante. Grâce à l'intervention du pape Paul III, élu en 1534 et
partisan d'un rapprochement entre les deux souverains, le roi et l'empereur
signent le 18 juin 1538 la paix de Nice et se réconcilient lors de l'entrevue
d'Aigues-Mortes le 15 juillet 1538, promettant de s'unir face au danger
protestant. Le pape pousse d'ailleurs les deux souverains à partir en croisade
contre les Turcs. L'empereur, qui
appréhendait une soudaine irruption dans le Milanais, eut recours à ses
artifices ordinaires. Il se mit à amuser par mille propositions Velly, ambassadeur de France, en lui parlant de divers
mariages pour le Dauphin; mais ce n'était pas ce que François prétendait. Il
voulait qu'on le satisfit sur le Milanais, et il ordonna à Velly
d'en faire la demande à l'empereur dans le temps qu'il était a, Palerme, au
retour d'Afrique : ce prince sut si bien dissimuler ses sentiments, sans
néanmoins s'engager, que Velly conçut dès lors
l'espérance, qu'il ne perdit jamais depuis, d'achever cette affaire à la
satisfaction de son maître. Ses espérances augmentèrent par lu mort de Sforce, arrivée vers la fin de cette année. A la nouvelle
de cette mort (1536), le roi fit redoubler ses instances, et l'empereur déclara
que, Sforce étant mort sans enfants, le duché lui
était dévolu ; il témoigna toutefois qu'étant en cet état d'en disposer de
plein droit, il voulait bien en gratifier, non le roi, car l'Italie ne pouvait
souffrir qu'il fût incorporé à la monarchie française, mais un de ses enfants
puinés "Cave" cavea : latin "fossé" (Gaffiot). La forteresse de Saint Jean Baptiste se trouve au nord-ouest
de Florence. Elle fut contruite à la place d'un couvent qui fut le chef de l'ordre en Italie de l'ordre des chanoines de St. Antoine abbé, institué dans le royaume de France en 1093, pour soigner
le feu de saint Antoine, qui y demeurèrent jusqu'en 1529. On la désigne le plus communément sous le nom de Forteresse basse
(Fortezza da Basse). Lorsque le Duc Alexandre de
Médicis parvint au Trône de Toscane ; de concert avec le Pape Clément VII, et
d'après le conseil de Philippe Strozzi , il résolut de
faire construire cette forteresse qui lui promettait en cas de soulèvement
populaire, un lieu de refuge assuré, car le peuple Florentin n'avait pu encore
oublier la liberté qu'il venait de perdre. Le 27 mai après avoir choisi le lieu où cette fortification devait être établie,
on commença à creuser les fossés et lesÂ
et les fondations des murs, et le 15 juillet 1534, à treize heures et vingt-cinq minutes, moment fixé par Julien Buonamici de Prato religieux des carmes et astrologue d'un grand crédit,
Ange Marzi, évêque d'Assise, en présence du duc Alexandre, et de toute sa cour, bénit solennellement les travaux commencés, et la première pierre de la construction
fut posée; au 5 Décembre de la même année 1535, cette citadelle était
entièrement achevée et le même prélat y célèbra la messe sous le donjon dans les fossés, en présence du duc, de sa cour, des magistrats, et de la noblesse.
A la mort d'Alexandre, la duchesse veuve se retira dans cette citadelle avec ses deux enfans, d'où elle partit quand Charles V, son père, l'eut destinée en mariage à Octave Farnese neveu du pape Paul III.
Cette forteresse passa en 1538 au pouvoir des Espagnols par la trahison d'Alexandre Vitelli, et le 3 juillet 1543 elle fut rendue à Côme Ier, qui dut, pour en rentrer en possession, payer à l'empereur
plus de ce qu'elle avait couté. C'est dans cette citadelle que Jean-Baptiste surnommé Philippe Strozzi, l'un des plus zélés partisans de la liberté florentine, fait prisonnier à la bataille de Montemurlo,
fut assassiné probablement par ordre de Côme Ier. Ce même Philippe avait, on ne sait pas pourquoi, conseillé à Clément VII de la faire élever. Jacopo Salviati lui avait prédit qu'il préparait la cage dans laquelle,
un jour, il ferait enfermé. Sur le refus de Buonarroti de rendre son talent l’instrument
d’une construction qui marquait la servitude et d’y faire servir les arts qui méritérent bien en lui le nom de libérales; mais en lui
seulement, Pierre François de Viterbe, fut choisi pour l’architecte qui devait
conduire les travaux de cette forteresse. Telle est du moins l‘opinion de Varchi. Vasari l’attribue à Antoine
de San Gallo "compte" Le 21 août 1530, le pape Clément VII avait obtenu une
bulle impériale qui déclarait chef de la République Florentine Alexandre,
reconnu comme son neveu, mais cru son fils. Cependant on faisait aux créanciers
de l'État une banqueroute de 60 pour cent ; on s'appropriait les dépôts faits
au nom des veuves et des orphelins : on annulait la vente des biens des
corporations et de la cité ; on augmentait arbitrairement les impôts, sans
tenir compte de l'appauvrissement et de la dépopulation des campagnes et de la
ville "Favence" Le Dictionnaire de Trévoux, à Fayence, dit : «Nom
propre d'une petite ville de l'État de l'Église, que les Italiens appellent
Faenza, nom formé par corruption de son nom latin Faventia...
Fayence est renommée pour la belle fayence de terre
qu'on y fait, &c.» [...] Mezerai parle des
conquêtes rapides de Lesdiguières en Provence, en 1592, & constatant qu'il
marquait presque ses journées par autant de prises de villes, de forts & de
chasteaux, il énumère Fayence, plus renommée par les vaiffelles de terre qui s'y font que par sa grandeur ni par
son importance. Et c'est tout. Il y a cependant à observer sur ce passage qu'il
doit plutôt se rapporter à l'année des événements cités, c'est-à -dire à 1592,
qu'à celle où Mezerai imprimait ce troisième volume,
c'est-à -dire à 1651; le premier est de 1643 : c'est l'édition originale Typologie L'originalité de Lorenzaccio est de préciser la position
de Musset face à l'ardent engagement politique des intellectuels, ses
contemporains Le scepticisme de Musset avait trouvé une confirmation durant la
Révolution de 1830 et Lorenzaccio en est le témoignage. La conjoncture politique a certainement joué un rôle dans la création
de ce drame. En 1830 en effet, le peuple français se révolte contre la
monarchie absolue de Charles X qui, comme Alexandre de Médicis à Florence,
avait été imposé à la France par une coalition de vainqueurs étrangers. Mais
comme à Florence en 1537, l'insouciance du peuple et le manque de décisions des
républicains, permettent "d'escamoter la République" selon le mot
d'un contemporain. Lafitte et Thiers amènent à Paris le Duc d'Orléans (comme le
cardinal Cibo fait venir Côme de Médicis à Florence)
afin qu'il recueille sous le nom de Louis-Philippe l'héritage devenu libre.
On pourrait découvrir ainsi de nombreuses allusions transparentes à la
politique contemporaine dans Lorenzaccio. Ainsi les portraits des bourgeois
viennent moins des chroniques de Varchi que des
portraits caricaturaux de certains journaux de 1833. Bindo
et Venturi n'attendent qu'un signe du pouvoir pour se rallier à lui parce que
leurs intérêts sont en cause (acte II scène 6). Musset ironise durement sur ces
éternels bourgeois - gentilshommes. Le marchand d'étoffe, à peine mieux traité par
l'auteur (acte I scène 1) résume en ces termes la philosophie bourgeoise et
marchande sous le règne de Louis-Philippe : "C'est plaisir de voir ces
bonnes dames, sortant de la messe, manier et examiner toutes les étoffes. Que
Dieu conserve son altesse ! La Cour est une belle chose". Quelques
éléments du peuple, tels les ouvriers qui travaillent chez l'orfèvre, tentent
de résister, mais dans l'ensemble les gens se montrent légers, indifférents Ã
leur sort : "Les uns courent après les soldats, les autres après le vin
qu'on distribue ; ils s'en remplissent la bouche et la cervelle, afin de perdre
le peu de sens commun et de bonnes paroles qui pourraient leur rester",
(acte V scène 5). Musset est tellement découragé par l'inertie populaire qu'en
1856, il supprime de son acte V la dernière scène (scène 6) qui montrait des
étudiants se faisant massacrer pour la liberté. Est-il "devenu talon rouge
et conservateur" comme le prétend G. Sand dans sa correspondance en 1844 ?
Les opinions politiques de Musset, que reflète le drame,
ne sont pas sans influencer l'attitude prêtée par l'auteur à Lorenzo. En effet
Musset énonce rarement ses idées personnelles, en politique comme en
philosophie, sous une forme directe. Il s'exprime surtout à travers ses œuvres.
C'est pourquoi l'étude de certaines poésies permet de mieux comprendre la pensée
de Musset, donc le message de Lorenzaccio. Nous avons compris combien le jeune
auteur avait été déçu par l'échec de la Révolution de 1830. En effet, comme
beaucoup de Romantiques, il hait toute forme d'oppression et chante la liberté. La tyrannie est
incarnée dans son théâtre par des êtres chez qui l'odieux le dispute au
ridicule. Sous une apparence joviale, le duc cultive un cynisme révoltant pour tout
homme sensé. Ne félicite-t-il pas cette brute de Giomo
d'avoir tué sans raison, à coup de bâtons, un gamin ? Les autres membres de sa
cour, comme Salviati, ne semblent pas davantage bénéficier de la sympathie de
l'auteur, qui leur refuse même l'intelligence, George Sand avait cependant
peint Alexandre comme un fin politicien dont la
tyrannie s'expliquait par les nécessités politiques Gommant la révolte
de Musset contre le régime censitaire de 1830, Périer-Strozzi contre Laffite-Médicis, qu'il avait soulignée à Grenoble en
1973, Georges Lavaudant insiste sur l'aveugle passion
du duc Alexandre pour son cousin Lorenzaccio. entremetteur
de ses débauches. Rejetant la splendeur Renaissance de Zeffirelli
en 1977 comme le cadre Louis-Philippard de Francis Huster,
Jean-Pierre Vergier habille ces florentins de 1537
selon les modes italiennes du temps, devant un mur cendreux piqueté d'étoiles,
beaucoup plus fonctionnel qu'esthétique, que la lumière peut faire intérieur ou
extérieur de palais à portes dérobées multiples, voire silhouette de ville dans
la nuit ou maison vénitienne près d'un canal, sous une colossale statue michel-angesque à la renverse, calotte crânienne tranchée
et jambe abattue servant de siège, d'un symbolisme peu évident (Lorenzaccio,
1989, Comédie Française) |