Saint Paul de Mausole vers 1890 V, 57 1893-1894 Istra de mot Gaulsier
et Aventin, Qui par le trou advertira
l'armée. Entre deux rocs sera prins
le butin, De SEXT mansol
faillir la renommée. Mont Gaussier Le Mont Gaussier, Sommet du
massif des Alpilles, domine de ses 306 m le site antique de Glanum et la ville
actuelle de Saint-RĂ©my-de-Provence, depuis le sud. Une des portes les plus anciennes est la porte du Trou.
On l'appelle aussi la porte de l'Orme ou la porte de l'Auro. Elle date du 13e
ou du 14e siècle La rue Nostradamus se termine à la Porte du Trou, vestige
des remparts, pendant de la Porte Saint-Paul, et diamétralement opposée à elle
sur l'axe nord-sud; la Porte du Trou débouche sur le boulevard Gambetta que
nous prenons sur la gauche Cf. "Ulmo" du
quatrain IX, 34, en rapport avec Jules César et la guerre des Gaules. Le romain César qui réfère à "Aventin". L'armée Peilhe , après Emile Ferret, interprète de la manière suivante
l'inscription du Mausolée romain de Saint Rémy : Sexta legionis milites Juliei,
cœnotaphium fecerunt parentibus sueis : les
soldats de la sixième légion Julienne ont élevé ce cénotaphe à leur général La Legio VI Ferrata
fut formée par J. César en 52 avant J.C. Elle reçut le surnom de Fidelis Constans mais on ne sait pas très bien à quelle
occasion. Sa première action de guerre fut contre Vercingétorix à Alésia. Durant
la guerre entre J. César et Pompée, elle fut extrêmement sollicitée par le
futur dictateur. Elle combattit en Espagne, à la bataille de Llerda (juin 49 avant J.C.) puis à Dyrrachium (Les écrivains qui ont adopté cette opinion
font remonter sa fondation et son nom à un héros appelé Dyrrachus.
Les autre disent que le nom de Dyrrachium, qui lui a
été donné par les Romains, est tiré des rochers qui en rendent l'accès
difficile…) Dion Cassius, XLI, 49. Elle participa à la bataille de Pharsale (Thessalie),
escorta César lorsqu’il partit pour Alexandrie. Là -bas, elle perdit les deux
tiers de son effectif. Elle fut présente, ensuite, au combat de Zéla (aout 47 avant J.C.) lorsque César battit Pharnace II,
roi du Pont. C’est à cette occasion que le futur dictateur put dire «veni, vidi, vixi».
«Après avoir ainsi reconquis le Pont, et abandonné tout le butin aux soldats,
il part le lendemain avec ses cavaliers équipés à la légère, ordonne à la
sixième légion de se rendre en Italie pour y recevoir les récompenses et les
honneurs qu'elle mérite,…» (César, Guerre d’Alexandrie, 77). Certains
historiens disent qu’il n’y avait que quelques cohortes de cette légion qui
étaient présents. Ses vétérans furent envoyés par César pour fonder une colonie
à Arles. Après l’assassinat de César, elle fut reconstituée par Lépide avant de
se ranger aux côtés de Marc Antoine et d’être reprise par Octave. Elle lutta
contre ses assassins, Brutus et Cassius, Ă la bataille de Philippes. Certains
de ses vétérans se groupèrent en Italie, à Bénévent, pour y fonder une nouvelle
colonie, d’autres suivirent Marc Antoine et se retrouvèrent en Judée d’autres
encore furent installés à Ptolémaïs (Acre en Israël). Elle fut sérieusement
malmenée à la bataille d'Actium. Après l’avènement d’Octave Auguste, elle est
envoyée en Syrie. En 58 après J.C. elle passe dans l’armée de Corbulon qui
battit les Daces et ramena le royaume d’Arménie dans la sphère d’influence de
Rome. Après le suicide de Néron, elle prit parti pour Vespasien. Elle fut
largement à l'origine du succès de ce dernier contre Vitellius. Elle tint
garnison sur l’Euphrate dans le royaume de Commagène et fit parti de l’armée de
Trajan qui mena une campagne guerrière en Arménie. En 119 après J.C., elle fut
engagée en Judée lors de la révolte de Simon Kosiba,
la révolte éteinte, elle tint garnison en Judée. Elle fit parti de l’armée de
Lucius Verus (co-empereur avec Marc Aurèle) que
celui-ci mena en Mésopotamie. En 193 après J.C., après le meurtre de Pertinax,
cette légion se rangea aux cotés de Septime Sévère. On la retrouve, en 215
après J.C., en Palestine. Elle fut anéantie par les Perses en 260 après J.C.
lorsqu’ils vainquirent l’empereur Valérien César envoya les vétérans de la VIe légion romaine, sous
les ordres de Claudius Tiberius Nero, coloniser le pays d'Arles Au milieu du Ier siècle avant J.C., quand le chaland
antique - devenu l'épave Arles-Rhône 3 - a sombré dans les eaux du Rhône, Arles
est colonie romaine depuis un peu plus d'un siècle. Dotée au moment de sa
fondation d'un très vaste territoire, allant jusqu'aux portes d'Aix et
englobant Toulon - comme récompense après le soutien de la ville à l'armée de
César contre Pompée - elle accueille sans doute après
la bataille de Munda, en 45 av. J.-C., les vétérans de la VIe légion Ferrata. On ignore comment s'est faite l'intégration de ces
nouveaux habitants avec les autochtones, qui n'ont peut-ĂŞtre pas vu d'un bon
œil l'arrivée de ces anciens soldats. Il n'y a cependant aucun argument pour
supposer que les anciens habitants ont été déplacés vers la rive droite du
RhĂ´ne ou dans le secteur occidental de la ville (actuel quartier de la
Roquette) (Gros 2008, p. 152). Toutefois, l'arrivée des Romains a complètement
changé l'aspect de la ville, déjà vieille de cinq siècles. Certes, les
premières années après la fondation de la colonie n'ont probablement pas vu
beaucoup de modifications mais, sans doute dès les années 30 av. J.-C.,
d'importants. travaux. ont. eu. lieu. Évidemment, l'impact de
ces travaux est surtout perceptible. sur la rive
gauche du RhĂ´ne oĂą, autour de la colline de la Hauture,
s'était développée l'agglomération protohistorique. Le premier souci semble
avoir été la protection de la ville contre les crues du Rhône, qui a connu une
période d'activité hydrodynamique particulièrement importante durant la seconde
moitié du Ier s. av. J.-C., ce dont témoignent
plusieurs sites le long du fleuve (Allinne, Bruneton 2008) La chute, au pouvoir de Rome, de Marseille et de son
domaine, en 49 avant J.-C, apporta dans Glanon de
profondes modifications. L'Ă©tablissement Ă Arles, sous les ordres de Tiberius
Néron, d'une colonie de vétérans de la VIe Légion ouvrit, pour la région, une
période de reconstruction ; c'est vers 40 que semble pouvoir être datée
l'édification de monuments publics à Glanum dont le nom fut latinisé en
devenant celui d'une possession romaine. La ville figure dès lors au nombre des
Oppida de droit latin ; ses citoyens sont inscrits dans la tribu Voltinia. Desservie par une route prĂ©romaine qui du RhĂ´ne Ă
la Durance unit les deux portions de la voie Domitienne,
elle est située par les itinéraires à sept ou huit milles d'Ernaginum,
et à seize milles de Cavaillon Tiberius Néron (en latin : Tiberius Claudius Nero), né
vers 85 av. J.-C. et mort en 33 av. J.-C., est un général et homme politique
romain. En 48 av. J.-C., il est nommé questeur et sert sous César qui lui
confie le commandement de la flotte basée à Alexandrie. En récompense de ses
services, notamment sa victoire sur la flotte Ă©gyptienne, CĂ©sar le nomme
pontife en 46, avant de l'envoyer en Gaule avec pour mission de créer des
colonies de vétérans, dont Narbonne et Arles. Après la mort de César, en tant
qu'Optimates, les ennemis politiques du dictateur, il prend parti pour les
Républicains césaricides lors de la séance du 17 mars
44 durant laquelle ces derniers sont amnistiés. Pourtant, malgré ce ralliement
aux RĂ©publicains et probablement en souvenir de son service sous CĂ©sar, il ne
figure pas sur la liste Ă©tablie par les Triumvirs Marc Antoine, Octavien et
Lépide lorsqu'ils lancent la procédure de proscription en 43. Il est même élu
préteur cette année-là . Néanmoins, selon Suétone, la préture de Tiberius Néron
s'achève sur un conflit avec les Triumvirs. C'est à cette époque que Tiberius Néron
prend Livia Drusilla pour Ă©pouse. Fille de Marcus Livius Drusus Claudianus,
elle est également membre de la gens Claudia. Leur premier enfant, Tibère, naît
Ă Fondi le 16 novembre 42. Il prend le parti
d'Antoine qui est défait par Octave. En 39, il bénéficie de la restitutio lors de la signature des accords de Misène entre
les Triumvirs et Sextus Pompée. Il peut alors revenir à Rome avec sa famille
sans craindre pour sa vie "faillir renommée" faillir : du latin fallere manquer (entre autres sens) ; renommée : en latin fama, claritudo, claritas vient de nomen (le nom) (Gaffiot). On sait que nomen signifie à la
fois «nom» et «renom», ce qui indique bien que l'anthroponyme est l'un des
supports de la mémoire pour le descendant et pour la collectivité. Cicéron s'appuie
sur cette valeur du nomen pour reprocher Ă Clodius
son adoption : Cet individu [Clodius] a enseveli (obruit)
sous le nom de Fonteius (Fonteiano
nomine) le nom (nomen), les cultes (sacra), le
souvenir (memoria) et la famille (gentem)
de ses parents (parentum). Le nomen
et la mémoire (memoria) de la famille exigent la même
pietas que la famille vivante et que les morts, pietas que Clodius n'a pas. Porter un gentilice signifie
que l'on fait partie d'une famille, que l'on assure le culte de ses morts que
l'on en préserve le souvenir par sa conduite, que l'on rappelle aux autres l'ensemble
d'une gens par le seul fait d'exister et de porter le mĂŞme nom. Aussi peut-on
dégénérer par rapport à ses ascendants comme par rapport à leur nom. En effet,
le nom se confond avec celui qui le porte, vivant ou mort. Lorsque Pline le
Jeune loue Trajan de redonner son éclat à la noblesse, il dit que ce sont les «noms»
(nomina) qui sont tirés «des ténèbres de l'oubli» (ex tenebris
obliuionis) par le prince. Comme le nomen, le cognomen s'hérite. Au besoin pour commémorer un
exploit ou un fait particulier et distinguer ainsi des individus, un second,
voire un troisième surnom s'ajoutent au premier. Le
surnom renvoie nécessairement à celui qui l'a porté le premier, mais sa charge
sémantique peut être mobilisée par ceux qui en ont hérité et par ceux qui
dispensent l'éloge ou le blâme: panégyristes ou satiristes et adversaires politiques.
Sous l'Empire, le même type d'exégèse peut être appliqué aux surnoms des
princes. Pline le Jeune en témoigne dans le Panégyrique de Trajan (88, 6), lorsqu'il
commente le surnom d'Optimus attribué au prince par
le sénat: plutôt que de renvoyer au modèle de Jupiter Optimus
Maximus, Pline resémantise
les surnoms (Frugi, Sapiens, Pius) d'anciennes familles
républicaines, simplement en les traduisant, pour mieux justifier celui qui est
attribué à Trajan. Il montre en même temps que, sur ce point aussi, le prince
et le sénat se situent dans la continuité républicaine. En fait, il est
possible de faire une exégèse de tous les cognomina,
exégèse qui prend la forme d'une simple traduction, d'une explication,
singulière ou plurielle, ou d'une lĂ©gende Ă©tiologique. En outre, le surnom a Ă
la fois un sens intrinsèque (il a une signification dans le langage commun) et
extrinsèque: lorsqu'il est hérité, il renvoie à un autre. Ainsi, Pline explique
au prince : Tu as obtenu un nom (nomen) [...], qui,
même si tous les autres après toi s'en emparent, sera toujours reconnu (agnoscetur) comme tien. En effet, de même que le nom (nomen) d'Auguste nous rappelle toujours (admoneremur) à qui il a été attribué en premier, de même,
cette appellation d'Optimus ne reviendra jamais Ă la
mémoire des hommes sans que tu y sois (appellatio numquam memoriae sine te recurret) et chaque fois que nos descendants seront obligés
d'appeler quelqu'un Optimus, ils se rappelleront (recordabuntur) qui mérita d'être appelé ainsi (Pline le
Jeune, Panégyrique, 88, 9-10) Les explications de Pline valent
vraisemblablement pour tout cognomen : ce qui compte autant que le sens
littéral du surnom, c'est celui qui le premier l'a porté et auquel il renvoie
systématiquement. Si ce personnage est lointain, des discours postérieurs
peuvent toujours lui donner une identité et une histoire. C'est aussi à partir des
cognomina que sont fabriquées les fausses généalogies.
Ce passage de Pline indique enfin que la comparaison entre un descendant et
l'ancêtre de sa lignée est potentiellement contenue dans le surnom. Le cognomen est bien un support de la
mémoire, pour celui qui le porte mais aussi pour tous ceux qui l'entendent
et le disent L'examen de la dédicace du Mausolée de Saint Rémy montre encore que
celle-ci s'accorde difficilement avec les usages funéraires du siècle
d'Auguste. SEx(tus) L(ucius) M(arcus) ivliei c(aii) F(ilii) parentibvs sveis. C'est tout d'abord l'absence des lettres d.m. (Diis manibus)
formule qui longtemps après le règne de cet empereur restera la règle générale
des Ă©pitaphes, c'est aussi l'absence de
cognomen qui surprend, Ă cette Ă©poque, et dans une famille aussi nombreuse
que celle des Julii. En outre, si l'on s'en tient au
sens généralement proposé pour cette inscription, le mot parentibus
désignerait le père et la mère des donateurs, or, malgré leur facture assez
grossière, on reconnaît dans les statues de la rotonde celles de deux hommes, et
non celles d'un homme et d'une femme. J'ajouterai enfin que la dédicace est
gravée, en un endroit qui ne lui est pas spécialement approprié, l'architecte
ne paraissant pas s'être soucié de réserver sur son monument un emplacement
pour un texte épigraphique. Ces objections concourent à faire considérer
l'inscription comme une adjonction postérieure, datant, peut-être, de l'époque
où le monument aurait été réutilisé comme tombeau. Renonçant à reconnaître dans
le Monument des Jules le tombeau d'un riche Glanique,
j'ai repris une opinion précédemment émise qui le désignait comme un édifice commémoratif
de type funéraire Aenobarbe au quatrain V, 59 est un cognomen (Ahenobarbus, Ahenobarba)
signifiant Barbe rousse et utilisé spécialement par la Gens Domitia Typologie N'est-ce pas encore un roc et le pontife romain n'est-il
pas clairement prédit par cette triple apocope, de Sext-Mansol:
sext - mansol pour sextus, manens, solus. Manens solus, celui qui
demeure seul, c'est le célibataire par excellence, le Prêtre suprême au vœu de
célibat Manseolum, minus mansum (Veterum scriptorum et monumentorum historicorum, dogmaticorum, moralium, amplissima collectio, Volume 9, 1968 - books.google.fr). Les Petites Maisons est le nom donné à un «asile d’aliénés» créé en 1557 à Paris, transformation de la maladrerie du faubourg Saint-Germain, fondée en 1497 à l'emplacement de l'actuel square Boucicaut, quartier Saint-Thomas-d'Aquin (7ème arrondissement) (fr.wikipedia.org - Petites Maisons). Pour les pauvres fous qui tombaient dans quelque agitation furieuse, on avait la prison. Les familles plus aisées, que les excentricités d'un de leurs membres risquaient de réduire à misère, honte et mauvais traitements, pouvaient demander une ordonnance à l'Intendant de la Province et faire interner leurs aliénés dangereux, leurs dévoyés ruineux ou importuns, dans quelque monastère, sous la protection de charitables religieux. C'était alors pour le couvent un moyen précieux d'existence. Tel semble avoir été le cas de Saint-Paul-de-Mausole, puisque le 7 juin 1768, à la suite d'un édit de Louis XV supprimant toute Communauté d'hommes qui n'aurait pas au moins neuf religieux, les Consuls de Saint-Rémy-de-Provence firent une pétition pour garder dans leur ville, à perpétuité, les Pères Observantins «qui reçoivent pensionnaires dans leur couvent, les personnes qui ont le malheur de tomber dans la démence et même ceux qui sont enfermés par lettre de cachet» (Edgar Leroy, Saint-Paul-de-Mausole à Saint-Rémy-de-Provence: notes historiques et touristiques, 1948 - books.google.fr). Les Archives des Observantins ayant été détruites ou dispersées à la Révolution, et des recherches faites à ce sujet n'ayant pas encore donné de résultats, on ne possède actuellement aucune donnée sur l'activité des P. Observantins de Saint-Paul dans le domaine de l'assistance aus aliénés (Edgar Leroy, Les origines de l'Asile de Saint-Paul-de-Mausole à Saint-Rémy-de-Provence, Hygiène mentale, Volume 33, 1938 - books.google.fr). Cf. quatrain VIII, 46 - De trois frères en trois frères - 2063-2064. On truve les expressions " Ces années sont proches de 1890, l'année de la mort de
Vincent Van Gogh qui se fit interner de lui-mĂŞme Ă Saint Paul. Vincent van Gogh peint Le mont Gaussier avec le mas de Saint-Paul
en 1889 Comme si nous Ă©tions, nous aussi, responsables du ratage
social, du mal de vivre, de la solitude de Van Gogh. Responsable de l'entreprise
de démolition à laquelle il se soumet et à laquelle il est soumis (la part de
masochisme, la part de cruauté : le cinéma de Pialat oscille toujours entre ces
deux pĂ´les). Comme si Pialat ne doutait pas une seconde qu'Ă l'Ă©poque, nous ne
nous serions pas mis du côté du peintre, mais bien du côté de l'hypocrisie
sociale. Du côté des marchands ou des critiques (Pialat les met à la même
enseigne, à l'égard de la critique en général, incluant, semble-t-il, celle de
cinéma), et non celui de l'artiste rongé, miné Émile Bernard, d'avril à juillet 1893, a publié les lettres reçues de Vincent dans le Mercure de France (Pierre Michel, Jean-François Nivet, Combats esthétiques par Octave Mirbeau, Tome 2, 1993 - books.google.fr). Le galeriste berlinois Paul Cassirer était le premier marchand à vendre et à exposer activement des œuvres de Van Gogh, et par son intermédiaire, au moins 55 œuvres trouvèrent preneur entre 1902 et 1911, générant un chiffre d'affaires de plus de 50 000 florins. En France, après la mort de Julien Tanguy en 1894, Ambroise Vollard reprit le commerce des tableaux de Vincent, et organisa deux expositions dans sa galerie, en 1895 et 1896. De son côté, Durand-Ruel, de la célèbre galerie du même nom, ne sut placer une seule œuvre (Wouter van der Veen, Peter Knapp, Vincent Van Gogh à Auvers, 2009 - books.google.fr). |