L'Ă©toile des Baux

L'Ă©toile des Baux

 

I, 28

 

1578

 

La tour de Bouq craindra fuste Barbare,

Un temps long temps apres barque hesperique :

Bestail, gens, meubles, tous deux feront grant tare :

Taurus & Libra, quelle mortelle picque !

 

Avec "Bouq", "Taurus", "bestail", le quatrain est très animalier.

 

La Tour de Bouc près Martigues

 

On s'attendait Ă  Constantinople Ă  ce que la guerre Ă©clatât entre la France et l'Espagne, et la politique turque mĂ©nageait Charles IX. Le Grand-Vizir se contenta donc de rĂ©pondre Ă  l'ambassadeur de France, en termes diplomatiques, que si le duc d'Anjou rĂ©ussissait Ă  sauver Alger des Espagnols, la Sultan saurait reconnaĂ®tre ce service, - phrase polie qui n'engageait pas Ă  grand-chose. Quelques jours plus tard, Noailles ayant insistĂ©, le Grand-Vizir dĂ©clara que le Sultan Ă©tait disposĂ© Ă  cĂ©der aux vĹ“ux du roi de France, mais que les dignitaires du clergĂ© musulman s'y opposaient et qu'il ne pouvait pas passer outre : c'Ă©tait une fin de non-recevoir. Le duc d'Anjou du renoncer Ă  devenir roi d'Alger. Il ne le serait mĂŞme pas devenu si la Saint-BarthĂ©lemy n'Ă©tait pas survenue Ă  ce moment-lĂ , renvoyant aux calendes grecques l'Ă©ventualitĂ© d'une rupture avec l'Espagne. La question d'un consulat français Ă  Alger fut reprise en 1578, et elle aboutit l'annĂ©e suivante. comme prĂ©cĂ©demment, on s'Ă©tait muni de l'agrĂ©ment du Sultan. Mais la RĂ©gence fit encore opposition, et il fallut retourner Ă  Cous tant inop le pour lui forcer la main. A partir de 1579, il y eut donc un "consul des Français" Ă  Alger, parfois assistĂ© d'un vice-consul. Depuis cette date jusqu'Ă  1830, la liste est ininterrompue. Deux ans plus tĂ´t, en 1577, des consuls avaient Ă©tĂ© installĂ©s sans difficultĂ© Ă  Tunis, d'une part, et Ă  Fès, au Maroc, de l'autre. Au cours de cette pĂ©riode, la gĂ©ographie politique du Maghreb achève de se fixer pour plusieurs siècles : le Maroc est toujours. indĂ©pendant. sous la dynastie chĂ©rifienne. Les autres paya forment autant de Pachaliks, indĂ©pendants les uns des autres, mais tous vassaux de Constantinople. Il y a trois Pschaliks, dont les capitales sont respectivement Alger, Tunis et Tripoli. Ochiali est le dernier des dĂ©tenteurs de la RĂ©gence d'Alger qui porte le titre de Begher-Beg, A sa mort, en 1587, le Sultan ne confère pas ce titre Ă  son successeur, et le Fachalik d'Alger devient tout pareil aux deux autres. Les iisas traditionnels d'amitiĂ© entre Français d'une part, Turcs et Barbaresques de l'autre, se desserrent Ă  partir des annĂ©es 1585, lorsque commence en France le règne de la Ligue. Les pirateries aux dĂ©pens de nos navires, et mĂŞme aux dĂ©pens de nos cotes, recommencent. Comme les Marseillais ont adhĂ©rĂ© Ă  la Ligue, ils sont suspects de complicitĂ© avec les Espagnols. Et la Sultan Mourad autorise ses sujets Ă  leur courir sus pour les punir. C'est le moment oĂą, Ă  Constantinople, la France est reprĂ©sentĂ©e par un ambassadeur ligueur, que l*on considère comme un simple agent de Philippe II. Après la mort d'Henri III, Henri IV refusera les services de cet ambassadeur, et chargera l'ambassadeur de son alliĂ©e, la reine d'Angleterre, de dĂ©fendre les intĂ©rĂŞts français. Les Provençaux souffrent tellement des incursions barbaresques sur leurs cotes qu'ils dĂ©cident, an 1585, de former une association contre le danger commun, sur l'initiative des consuls de Marseille. Tous les ports de la cote, depuis Martigues, Ă  l'Ouest, jusqu'Ă  Antibes entrent dans cette ligue. Ils obtiennent du roi de faire accompagner par leurs dĂ©lĂ©guĂ©s un ambassadeur spĂ©cial qui ira porter leurs dolĂ©ances au Sultan. DĂ©jĂ  les dĂ©lĂ©guĂ©s sont dĂ©signĂ©s et prĂŞts Ă  s'embarquer lorsqu'un contre-ordre arrive, et l'on surseoit au dĂ©part. Le projet sera repris et aboutira en 1588, mais il n'en rĂ©sultera pas le soulagement espĂ©rĂ© (Gaston Zeller, La MĂ©diterranĂ©e et ses problèmes aux XVIe et XVIIe siècles, Parties 1 Ă  4, 1948 - books.google.fr).

 

"longtemps après" : sous Richelieu

 

Il va sans dire que Richelieu, qui se fit nommer grand maître de l'Amirauté de France en 1626,  déclare la côte absolument ouverte aux descentes espagnoles et barbaresques. Il marque les lieux à fortifier : la tour de Bouc, qui pourrait protéger 25 galères et sert actuellement d'escale à celles d'Espagne qui vont en Italie ; Marseille, « port admirable » où 200 galères au moins pourraient mouiller et qui pourrait abriter 40 vaisseaux dans sa rade ; la Ciotat, qui, fortifiée, pourrait protéger 20 galères ; Toulon, dans le « goulfe » duquel plusieurs escadres seraient en sûreté ; enfin, les bonnes rades d'îles comme Porquerolles, qui servent aux pirates et aux Espagnols. Il représente au roi l'importance stratégique de la côte provençale dont le dénuement seul rend le roi catholique seigneur absolu de toute l'Italie (H. Méthivier, Richelieu et le Front de mer de Provence, Revue historique, Volume 185, 1939 - books.google.fr).

 

Pour Richelieu et la Marine, cf. quatrain V, 64 - Waldeck-Rousseau - 1901-1902.

 

"Taureau, Libra, quelle mortelle picque"

 

Ceux qui blâmoient l'expédition d'Afrique, profitèrent de l'apparition d'une comète, pour insinuer au Roi que ce phénomène présageoit quelque malheur au Portugal, & qu'il falloit changer de dessein. «Non, répondit-il, non, je n'en changerai point : la comète ne paroît pas pour condamner mon entreprise, mais pour épouvanter ceux à qui je vais faire la guerre.» Amurat III se flattoit de même à Constantinople, & disoit que la comète lui annonçoit la ruine des Princes Chrétiens (Guillaume Bertoux, Anecdotes espagnoles et portugaises depuis l'origine de la nation jusqu'à nos jours, 1773 - books.google.fr).

 

Au Ier siècle de notre ère, on distinguait déjà neuf espèces de comètes que nous décrit Pline l'Ancien dans son Histoire naturelle: « Les Grecs appellent "comètes", les Romains "étoiles chevelues", celles qui sont hérissées d'une touffe de poils couleur de sang, se dressant à leur sommet comme une chevelure. Les Grecs nomment "Pogonias" (barbues) celles qui traînent à leur partie inférieure une crinière en forme de longue barbe. Les "Acontias", présages d'événements tout à fait imminents, filent comme des javelots. Les comètes plus courtes et terminées en pointe ont reçu le nom de "Xiphias" : plus pâles que toutes les autres, elles ont le reflet de l'épée, sans aucun rayon; le "Disceus" (discoïde) également, qui répond à son nom, mais avec la couleur de l'ambre, ne projette que peu de rayons hors de son contour. Le "Pitheus" offre la forme d'un tonneau dont la concavité renferme une lueur fumeuse. Les "Ceratias" ont l'apparence d'une corne. Les "Lampadias" imitent les torches ardentes; les "Hippias", des crinières de chevaux animées d'un mouvement très rapide et tournoyant sur elles-mêmes. On rencontre aussi des comètes "boucs", d'aspect poilu, enveloppées d'une sorte de nuage. Il est arrivé une fois qu'une crinière s'est changée en lance» (Philippe Véron, Jean-Claude Ribes, Les comètes, de l'antiquité à l'ère spatiale, 1979 - books.google.fr).

 

Le patricien Gênois Girolamo Franchi di Conestaggio écrit après son séjour au Portugal entre 1578 et 1582, que le neuvième jour de novembre 1577, il "apparut dans le zodiaque, au signe de la Balance, auprès du lieu où estoit pour lors l'estoile de Mars, la plus belle et plus grande de toutes les cornettes qui ont esté veuës dés long temps ençà" (Pierre Berthier, La bataille de l'Oued el-Makhâzen: dite bataille des Trois Rois (4 aout 1578), 1985 - books.google.fr).

 

LXXI. En ce temps, paraissait une étoile au ciel, de la longueur d'une lance, une heure devant le soleil couché, étant fort chevelue, et continua à paraître jusqu'à la mi-décembre suivante (1577) (Armand Desire de La-Fontenelle de Vaudore, Journal de Guillaume et de Michel Le Riche, avocats du roi a Saint-Maixent (1534 a 1586), 1846 - books.google.fr).

 

La comète de 1577 donne lieu dans toute l'Europe Ă  une littĂ©rature abondante. Les livres de raison synthĂ©tisent souvent cette production, indiquant en ceci qu'elle n'est pas seulement un phĂ©nomène d'images littĂ©raires, mais qu'elle plonge au plus profond de la sensibilitĂ© et du savoir. Ainsi Claude Haton, alors que une gresle «grosse comme oeufs de poule», le tonnerre espouvanter le peuple de Nogent-sur-Seine, «courant impĂ©tueusement par les rues en forme d'un taureau couronnĂ© et effarouchĂ©, qui hurloit et mugissoit d'un cry espouvantable...», une bĂŞte monstrueuse et inconnue dĂ©vorer les enfants en Brie, attarde son rĂ©cit sur le mois de novembre, quand « s'apparoissoit une cornette non usitĂ©e d'estre vue ». A la description et au dessin, il ajoute une interprĂ©tation du signe, annonciateur de «mutation de royaumes et d'Estat», Ă©pousant dans son système de pensĂ©e les idĂ©es «des anciens et vieilz gens, qui jĂ  par expĂ©rience avoient veu le mal advenir par tels signes en leur temps». La rĂ©pĂ©tition est donc le fondement de la connaissance de l'immĂ©diat. La rĂ©fĂ©rence Ă  «l'expĂ©rience» n'est pas sans figurer un autre truchement de la saisie du signe que la littĂ©rature prodigieuse ; mais celle-ci est aussi rappelĂ©e dans les lignes consacrĂ©es Ă  la comète. C. Haton cite certaines de ses sources, tels François Guintini, Lefèvre d'Etaples, le Fascicula tempora (?) ; son allusion Ă  la grande clartĂ© du 15 janvier 1572, qui rĂ©vĂ©la le combat acharnĂ© de 2 troupes de combattants - «en l'annĂ©e mesme, au mois d'aoust, advint la sĂ©dition et massacre de Paris faict le jour de la St Bartholomy» - renvoie Ă  une topique des pronostications pour 1572. Psychologie donc de l'attente de la rupture dans cette conscience de la rĂ©pĂ©tition. La comète, «crineuse», «chevelue», suscite, dans le livre mĂ©morial d'Eustache PiĂ©mont, l'Ă©noncĂ© d'une dĂ©chirure, d'un point d'origine du drame du vĂ©cu, comète «depuis laquelle tant de revoltements de peuple et de meurtres nous sont advenus». Temps crucial rĂ©troactivement, apprĂ©hension qui adhère aux exposĂ©s et aux conclusions littĂ©raires, et qui trahit une Ă©troite symbiose entre la culture matricielle des « canards Â» et la relation individuelle Ă  la nature et au devenir. Selon Guillaume Paradin, en effet, les signes du ciel, les comètes, traduisent dans le monde sensible l'immense pitiĂ© de Dieu - «nostre bon Dieu clĂ©ment et pitoyable, ne veuillant la mort des pĂŞcheurs mais la conversion» (D. Crouzet, La reprĂ©sentation du temps Ă  lĂ©poque de la Ligue, Revue historique, Volume 270, 1983 - books.google.fr).

 

La comète apparut en Belgique en novembre entre les constellations du Taureau et des gémeaux (Joaquín Iriarte, La canción del cometa de 1577, 1996 - books.google.fr).

 

La grande comète de 1577, connue sous le nom technique C/1577 V1, est passée près de la Terre pendant l'année 1577. La comète a été vue par des gens à travers toute l'Europe, y compris par le célèbre astronome danois Tycho Brahe du 13 novembre 1577 au 26 janvier 1578. De ses observations, Brahe a pu découvrir que les comètes et objets similaires voyageaient au-dessus de l'atmosphère terrestre. En se basant sur les croquis trouvés sur des brouillons de Brahe, il est possible que la comète soit passée près de la planète Vénus. Ces croquis présentent la Terre au centre, avec le Soleil tournant autour d'elle, et les autres planètes connues tournant autour du Soleil. C'était l'hypothèse personnelle de Brahe, basée sur l'agencement du système solaire, qui aujourd'hui a changé suivant la théorie de l'héliocentrisme. Malgré cette mauvaise vision du système solaire, les milliers de mesures très précises prises par Brahe ont permis à Johannes Kepler de théoriser les lois des mouvements des planètes connues sous le nom de Lois de Kepler. Malgré toutes les mesures que Brahe avait prises, il ne put calculer exactement la distance entre la comète et l'atmosphère de la Terre. La découverte de Brahe que les comètes étaient des objets extra-terrestres même si elle fut communément admise posa quelques questionnements : quelle est la nature de ces objets, d'où viennent-ils, avaient-ils un chemin qu'ils suivaient ? Ces questions, parmi tant d'autres, furent fortement débattues pendant le XVIIe siècle, et beaucoup de théories circulèrent parmi la communauté des astronomes. Galilée affirma que les comètes étaient des phénomènes optiques, ce faisant, leurs parallaxes étaient impossibles à mesurer. Cette hypothèse n'était pas largement acceptée. Le passage de la comète en 1577 permit aux théories sur les comètes, leur nature et place dans le ciel d'être drastiquement réévaluées et de mettre en place les bases de l'observation spatiale des comètes. Parmi les découvertes que Brahe fit, il remarqua que les queues des comètes étaient dirigées à l'opposé du Soleil (fr.wikipedia.org - C/1577 V1).

 

"mortelle picque"

 

Un certain François Junctin saisit cette occasion pour publier chez un imprimeur lyonnais une brochure in-8o de seize pages, ou Discours de ce que menace devoir advenir la comète aperçue le 12 de ce prĂ©sent mois de novembre 1577 laquelle se voit aujourd'hui encore Ă  Lyon et autres lieux : ce fut un avertissement et avant-coureur pour nous prĂ©dire les malheurs qui sont ci-après advenus par rĂ©volte de peuples, par guerres, pestes, famines et autres  flĂ©aux par lesquels Dieu a visitĂ© et châtiĂ© le peuple (Emmanuel Le Roy Ladurie, Le Carnaval de Romans: De la Chandeleur au mercredi des Cendres (1579-1580), 1979 - books.google.fr).

 

Martigues

 

Henri III avait nommé gouverneur de Bretagne Philippe-Emmanuel de Vaudemont, duc de Mercœur, frère de la reine. S'imaginant, à la mort du monarque, que le royaume allait se démembrer, Mercœur conçut le projet de se rendre souverain dans son gouvernement, à l'aide des prétentions de Marie de Luxembourg-Martigues, sa femme, héritière de la maison de Penthièvre. Marie de Luxembourg-Martigues était fille de Sébastien de Luxembourg-Martigues, comte, puis duc de Penthièvre, du chef de sa mere Charlotte de Brosse, seur et héritière de Jean de Brosse, dit de Bretagne, et arrière-petite fille de François de Luxembourg, premier vicomte de Martigues de cette maison, second fils de Thibaut de Luxembourg, sieur de Fiennes, frère puîné du fameux connétable de Saint-Pol. Philippe-Emmanuel trouva beaucoup de gentilshommes disposés à le seconder, dans l'espérance d'avoir un prince particulier. Cependant, comme il ne se sentait pas assez fort contre les troupes qu’Henri IV lui opposait, il appela les Espagnols à son secours : Henri eut recours aux Anglais. Les deux nations sollicitées envoyèrent des troupes en nombre à peu près égal, qui perpétuèrent la guerre dans cette province (M. Anquetil, Histoire de France, depuis les Gaulois jusqu'à la mort de Louis XVI, Tome 7 : 1574-1602, 1821 - books.google.fr).

 

Cf. quatrain IX, 87 - Philippe Emmanuel de Lorraine, duc de Mercœur - 2167-2168.

 

En août 1608, les habitants du sud la France, de Marseille à Gênes, des prodiges célestes sont relatés dans une chronique d'époque intitulée "Discours des terribles et espouvantables signes apparus sur la mer Gennes". Dans le ciel de Martigues ont lieu des combats aériens laissant une odeur de salpêtre (www.ldi5.com).

 

En 1591, sous le règne d'Henri IV, la galère du nonce apostolique aborde à la Tour de Bouc en route vers l'Espagne. Cette même année en avril on voit à Marseille une comète passant dans le ciel du Ponant au Levant (César de Nostredame, L'Histoire et chronique de Provence de Caesar de Nostradamus, 1614 - books.google.fr).

 

L'étang de Berre, au sud duquel Martigues se trouve, était appelé Sinus Astromela (aster : étoile en latin) ou Mastromela. Le massif de l'Etoile se trouve au nord de Marseille et à l'est de Martigues.

 

Le fief de Martigues avait appartenu à la Maison des Baux dont le blason porte une étoile à 16 rais repris par les Luxembourg-Brienne. Cette étoile est supposément celle des rois mages (Oeuvres d'Henri-François d'Aguesseau, 1772 - books.google.fr).

 

"Au hasard Balthazar !" est la devise hardie des Seigneurs de Baux qui prétendent descendre du roi mage Balthazar (www.horizon-provence.com).

 

Dans un «ramas de divers escrits, tant en prose qu'en poésie, publiez et semez pour et contre la journée de la Saint-Barthélémy», Pierre de l'Estoille signale des «Vers latins Sur l'estoile nouvelle, qui se voyoit sur Paris et partout, au mois de novembre», et précise que «Beze et autres poètes huguenots comparaient cette étoille à celle qui apparut aux Mages, et le Roy Charles à Hérode» (E. Poulle, L'astronomie de Guillaume Postel, Guillaume Postel, 1581-1981: actes du Colloque international d'Avranches, 5-9 septembre 1981, 1985 - books.google.fr).

 

Tycho, en refusant l'analogie de nature proposée par certains auteurs entre l'astre de 1572 et l'étoile des mages, excluait implicitement qu'elle pût annoncer la seconde venue du Christ sur Terre (

Francis Courtès, Le discours scientifique du baroque, 1987 - books.google.fr).

 

nostradamus-centuries@laposte.net