La stèle de Si-ngan-fou I, 92 1625 Sous un la paix par tout sera clamée, Mais non long temps pille & rebellion, Par refus ville, terre & mer entamée, Morts & captifz le tiers d'un milion. "paix" et "refus" d'Alexandre Le fait est qu'à Issos, Darius laissa passer sa meilleure, peut-être sa seule chance de vaincre Alexandre. Désormais, le Macédonien avait l'ascendant psychologique sur on adversaire. Et d'un point de vue stratégique, il pouvait réduire la puissance maritime de la Perse à néant. Pour Darius, les choses devenaient extrêmement compliquées. Outre la paralysie de sa flotte, la Perse avait subi un deuxième échec, beaucoup plus sévère que le premier. Darius avait perdu, pour le moment du moins, la confiance de ses hommes et son armée était décimée et humiliée. Lui-même souffrait d'être séparé de ses proches. Apprenant que sa femme, toujours captive, s'était éteinte, il offrit une ultime offre de paix à Alexandre, dont la réponse fut cinglante : «Allez dire à votre roi que tout est remis en jeu, les territoires qu'il a perdus comme ceux qui lui restent : c'est la guerre qui fixera nos frontières respectives; chacun de nous aura la part que le sort lui attribuera dans les jours qui viennent.» Désormais, seule une victoire retentissante pouvait changer le cours des choses. C'est à Gaugamèles que la bataille décisive allait avoir lieu (Arnaud Blin, Les grands capitaines, 2020 - books.google.fr). Darius demande la paix pour la troisiesme fois, & ne l'obtient pas. Au contraire, Alexandre l'invite à se rendre, ou bien à faire la guerre (Qvinte-Cvrce, De la vie et des actions d'Alexandre le Grand, traduit par Claude Favre de Vaugelas, Pierre Du Ryer 1668 - books.google.fr). "rebellion" Moins détaillé que l'exposé d'Arrien, celui de Diodore renferme également plus d'une utile indication : «Agis, roi des Lacédémoniens», dit l'auteur, «ayant rassemblé 8.000 mercenaires qui avaient survécu à la bataille d'Issos, médita une entreprise qui lui permit de gagner la faveur de Darius; acceptant les vaisseaux et les sommes d'argent que ce souverain mit à sa disposition, il cingla vers la Crète, dont il soumit la plupart des cités à l'autorité des Perses.» Diodore attribue donc expressément au fils d'Archidamos l'initiative des pourparlers avec les Barbares et des opérations militaires qui les suivirent; pas plus que l'auteur de l'Anabase, il ne signale une participation des éphores aux négociations qui se déroulèrent entre Agis et les satrapes. Aucun texte, en revanche, ne fait allusion au rôle que ce prince a pu jouer en 332. On sait enfin comment, au cours de l'année suivante, Agis dirigea l'insurrection d'une partie des États peloponésiens contre le régent de Macédoine, Antipater, insurrection qui aboutit au désastre et à la mort héroïque du roi de Lacédémone sous les murs de Mégalèpolis (automne 331) (P. Cloche, Sur le rôle des rois de Sparte, Les Études classiques, Volume 17, 1949 - books.google.fr). Gaugamèles La bataille de Gaugamèles Écouter, qui s'est déroulée le 1er octobre 331 av. J.-C., est l'affrontement décisif entre l'armée d'Alexandre le Grand et celle de Darius III. Lors de cette bataille, considérée comme l'une des plus importantes de l'Antiquité par les forces impliquées, le royaume de Macédoine vainc définitivement l'Empire perse. Cette bataille est parfois, quelque peu abusivement, appelée bataille d'Arbèles en référence à la cité d'Arbèles (Erbil dans le Kurdistan actuel), située à 100 km environ du champ de bataille. La bataille a lieu dans la plaine de Gaugamèles, dans le nord de l'Irak actuel, même si la localisation exacte de la bataille n'est pas clairement établie, on situe généralement le site à l'est de la ville de Mossoul (fr.wikipedia.org - Bataille de Gaugamèles). A Arbelles, Darius avait un million de fantassins et quarante mille chevaux; Alexandre quarante mille fantassins et sept mille chevaux. Il perd cent hommes; les Perses ont trois cent mille hommes tués; c'est-à -dire que chaque homme de l'armée d'Alexandre dut tuer au moins six hommes et plusieurs d'entr'eux sept; tandis qu'il fallut dix mille hommes de l'armée de Darius pour ôter la vie à un seul Grec. Les miracles de Pizarre et de Fernand Cortez ne sont rien en comparaison. De plus, le héros macédonien fit trois cent mille prisonniers, c'étaient treize hommes gardés par deux. Ils étaient sans doute prisonniers sur parole (Antoine Laurent Apollinaire Fée, Voyage autour de ma bibliothèque : littérature et philosophie, 1856 - books.google.fr). Arrien évalue la perte des Perses à trois cent mille hommes, avec les éléphants et les chars armés de faux; Diodore seulement à quatre-vingt-dix mille hommes, et Quinte-Curce à quarante mille. Alexandre ne perdit que cent hommes et mille chevaux qui périrent de fatigue. La ville d'Arbèles, où se trouvaient le trésor de Darius et les gros bagages de l'armée, tomba, aussitôt après la bataille, au pouvoir des Macédoniens (Encyclopédie moderne: Dictionnaire abrégé des sciences, des lettres, des arts, de l'industrie, de l'agriculture et du commerce, Tome 16, 1848 - books.google.fr). Cf. quatrain V, 97 - De la Perse à l'Iran - 1923-1924. Reza Palahvi devient Chah de Perse en 1925. "entamee" Alexandre vint venger l'Orient, écrasé pendant deux siècles par les successeurs de Cyrus. A peine ce héros eut-il entamé la Perse, par les victoires du Granique & d'Issus, & qu'il tourna du côté de l'Egypte, & se présenta devant Péluse; cette ville, la clef de l'Etat, ne fit aucune résistance. Alexandre ? mit une garnison Macédonienne ensuite il remonta le Nil sur sa flotte, se rendie maître d'Héliopolis & de Memphis, & fit disparaître de la surface de l'Egypte cette légion d'oppresseurs & de déprédateurs, soudoyés par les Despotes de la Perse, pour anéantir, s'il était possible, tout ce qui restait d'hommes dans la Monarchie des Pharaons (Jean-Baptiste-Claud Delisle de Sales, Histoire des hommes, ou histoire nouvelle de tous les peuples du monde: Partie de l'histoire ancienne, Tome 11, 1781 - books.google.fr). Alexandre ne fit qu'entamer la lisiere des Indes. On fait ressentir à Alexandre la joie la plus excessive en aprochant de la Mer de Perse (Simon Nicolas Henri Linguet, Histoire du siècle d'Alexandre, avec quelques réflexions sur ceux qui l'ont précédé, 1762 - books.google.fr). Alexandre étoit bien jeune pour un dessein si sérieux (la conquête de l'univers) : il est étonnant que dans ce premier âge les femmes ou le vin n'aient plus tôt rompu son entreprise (Les jugements, II, 121). Quelques périls qu'il commence à prévoir dans la suite de son entreprise, il faut qu'il l'entame (au sujet de Guillaume d'Orange, Les jugements, II, 124) (Oeuvres de La Bruyère, Volume 3, 1878 - books.google.fr). Alexandre en Chine Au XIVe siècle, un écrivain que l'on croit Égyptien, Nowaïri, qui écrivit une sorte d'encyclopédie, suivit la tradition des Persans et fit Alexandre fils de Darius Ier. Après ses victoires, Alexandre marche vers les Indes, et le roi de ce pays lui fait présent d'un habile philosophe, d'un savant médecin, d'une fille ravissante et d'une coupe inépuisable. Alexandre lui accorde son amitié et s'avance vers la Chine. Le roi de cette vaste région veut connaitre son ennemi. Il se déguise en ambassadeur et se rend auprès d'Alexandre; mais il se fait bientôt reconnaitre; les deux souverains font la paix, et Alexandre meurt peu après avoir quitté la Chine. Les philosophes entourent son cercueil et chacun d'eux exprime ses sentiments (Guillaume Favre, Les histoires fabuleuses d'Alexandre le Grand, Mélanges d'histoire littéraire, Volume 2, 1856 - books.google.fr). Dans la Vie d'Appolonios de Tyane, Philostrate raconte le voyage du premier en Inde qui aurait vu une éléphant survivant de la bataille de Porus et d'Alexandre et une stèle de bronze à l'endroit où ce dernier se serait arrêté (F. Javier Gomez Espelosin, L'Inde dans les récits de voyage, Inde, Grèce ancienne : regards croisés en anthropologie de l'espace, 1995 - books.google.fr). Acrostiche : SMPM Erudimini qui iudicatis terram. Nolite arbitrari... En marge de ce sermon du manuscrit 1423 de Sainte Geneviève que nous n'avions pas rencontré dans les mss. précédents, une autre main à écrit : s.m.p.m., abréviation qu'il faut interpréter : Sermo magistri Petri Manducatoris. De fait, cette pièce est attribuée ailleurs à Pierre le Mangeur et a été imprimée sous son nom (P.L., t. CXCVIII, col. 1817) (J. Chatillon, Archives d'histoire doctrinale et littéraire du moyen âge, Tome 39, 1964 - books.google.fr, Patrologiae cursus completus, Series Latina, Tome 198, 1855 - books.google.fr). ET NUNC ERUDIMINI (Et maintenant soyez instruits). Et nunc, reges, intelligite; erudimini, qui judicatis terram : «Et maintenant, rois, comprenez; instruisez-vous, vous qui jugez la terre.» Ces paroles du Psalmiste, dont Bossuet s'est éloquemment servi dans son oraison funèbre de la reine d'Angleterre, sont la consécration de cette vérité, que les malheurs des rois sont pour les autres rois la plus éclatante et la plus instructive des leçons (Pierre Larousse, Fleurs latines des dames et des gens du monde, ou Clef des citations latines que l'on rencontre fréquemment dans les ouvrages des écrivains français, 1874 - books.google.fr). Les fables sur Alexandre furent fort répandues en France dans le moyen âge, et on les trouve dans les grands ouvrages historiques composés au douzième et au treizième siècle. Je citerai pour la première époque la célèbre Histoire scholastique composée par Pierre Comestor. Il y parle des merveilles qu’Alexandre vit dans l'Inde, des questions qu'il adressa aux arbres du Soleil et de la Lune, et il cite à ce sujet la lettre d'Alexandre à Aristote. Au treizième siècle, Vincent de Beauvais composa par ordre de saint Louis, et avec les moyens littéraires que ce roi mit à sa disposition, l'étonnante encyclopédie qu'il nomma Speculum majus. Dans la partie historique, il met au rang des ouvrages dont il donne des extraits la lettre d'Alexandre à Aristote et l'Historia Alexandri (Guillaume Favre, Les histoires fabuleuses d'Alexandre le Grand, Mélanges d'histoire littéraire, Volume 2, 1856 - books.google.fr). Le clerc espagnol auteur du Libro de Alexandre (1220-1225) déploie dans l'épisode de la visite au Temple de Jérusalem ses connaissances, relatives ici au domaine de l'herméneutique biblique. Le clerc mène à bien un commentaire littéral, moral et allégorique des versets d'Ézéchiel à partir de Pierre le Mangeur - dont des manuscrits de l'Historia scolastica circumaient au tournant du XIIe et XIIIe siècle en Espagne - et de Daniel, interprétant leur sens, qui enseigne ce qui s'est passé, ce qu'il faut faire et ce qu'il faut croire (Amaia Arizaleta, Le miracle exégétique, Miracles d’un autre genre: Récritures médiévales en dehors de l’hagiographie, 2021 - books.google.fr). Sous les successeurs d'Alexandre, on connaît l'histoire d'Héliodre, au service de Seleucus IV Philopator (Eugène de Margerie, Causeries sur l'Ancien et le Nouveau Testament, 1870 - books.google.fr). Il arrive que se combinent dans l'esprit de nos exégètes les mythes de l'Antiquité et ceux de l'Ancien Testament. Un exemple extraordinaire est celui de la tradition de la porte de Fer. Selon le Pseudo- Callisthène et le Pseudo-Méthode, Alexandre le Grand, horrifié par la férocité de certains peuples asiatiques, les vainquit et les parqua dans un cirque de montagnes infranchissables dont il boucla l'unique passage par une porte de fer, totalement hermétique, sans recours. Les apports successifs de la légende rejetèrent derrière ces portes, avec Gog et Magog, les cynocéphales, les Sarmates, les Huns, les Tartares, les monophysites, en bref tous les Barbares, quelques hérétiques en prime et, pour finir, les dix tribus perdues d'Israël, bien qu'à l'origine les peuples enfermés par Alexandre n'aient rien eu de commun avec les Juifs. L'amalgame était déjà réalisé dans la Historia scolastica de Pierre Comestor, au XIIe siècle, et, au début du XVIe siècle, les Judei clausi, c'est-à -dire les tribus perdues, sont «cartographiées» sur plusieurs mappemondes, au nord de l'Asie, cemées par de hautes montagnes : sur celles de Contarini-Roselli (1506), Ruysch (1508), Waldeseemuller lui-même en 1513 et enfin sur le Theatrum orbis terrarum d'Ortelius en 1584 (Bartolomé Bennassar, Lucile Bennassar, 1492. Un monde nouveau ? (1992), 2013 - books.google.fr). Pierre le Mangeur, fusionna dans un même récit l'enfermement par Alexandre des peuples de Gog et Magog et le rôle que les Juifs devaient tenir dans le drame de la fin des temps : les dix tribus perdues d'Israël (c'est-à -dire les tribus juives du royaume d'Israël déportées par les Assyriens au VIIIe siècle av. J.-C., dont la trace se perd à partir de cet événement) auraient fait partie, selon le maître parisien, des peuples enfermés sous les murailles caucasiennes par le conquérant grec (Thomas Tanase, Dans l'Empire mongol de Jean de Plancarpin, 2016 - books.google.fr). Typologie Le report de 1625 sur la date pivot -331 donne -2287. Epoque de Nitocris, première pharaon, selon Lenglet (Nicolas Lenglet Du Fresnoy, Tablettes chronologiques de l'histoire universelle sacrée et prophane, ecclésiastique et civile, depuis la création du monde, jusqu'à l'an 1743, Tome 1, 1744 - books.google.fr). Nitocris est donc sans doute une princesse de la fin de la VIe dynastie, qu'à première vue, tout rattache à Saqqara; il restera maintenant à voir comment son histoire a pu s'implanter à Giza. Si Hérodote n'indique pas clairement que le monument construit par la reine était une pyramide et qu'elle était située à Giza, nous avons cependant de fortes présomptions pour croire que le bâtiment dépeint par l'auteur s'apparente au moins à une pyramide, s'il n'en est une. La description de la chambre souterraine correspond en effet à celle de la même substructure dans la Pyramide de Chéops, qui reçoit, elle aussi, nous dit Hérodote, l'eau par un conduit. Il semble donc qu'il existe un certain rapport, au moins implicite, entre Nitocris et Giza chez Hérodote. Dans les différentes versions de Manéthon, il nous est dit que Nitocris a bâti la "Troisième Pyramide", soit que l'auteur le présente comme un fait certain (Africanus), soit qu'il le rapporte comme une tradition (dans les deux versions d'Eusèbe). Là encore, toutes sortes d'hypothèses ont été proposées pour tenter d'élucider cette affirmation, qui manque d'exactitude puisque la localisation du monument n'est pas plus précisément indiquée, et qui de prime abord semble aller contre l'histoire (C. Zivie-Coche, Nitocris, Rhodopis et la troisième pyramide de Giza, Bulletin de l'Institut français d'archéologie orientale, Volume 72, 1972 - books.google.fr). Cf. Mykérinos et Rhodopis au quatrain IX, 8. La stèle de Si-ngan-fou SEMEDO (orthographe ancienne SEMMEDO), Alvaro de, SIÉ Wou-Lou avant le retour d'exil, 1620, et TSENG TÖ-TCHAO KI-YUAN après cette date (Portugais, 1586-1658). En 1625, il est à Sian (Si-ngan fou), Shensi, et fait le récit de la découverte d'une stèle nestorienne; vice-provincial de Chine, 1645-1650 et 1654-1657. Historien, son Histoire universelle de la Chine, publiée en portugais, à Madrid, 1641, eut plusieurs éditions et traductions. Il y traite des Juifs, à la première partie, chapitre 30; mais c'est une erreur, car il parle, en fait, des musulmans; il dit qu'il en a rencontré plusieurs à Nankin récemment convertis du Judaïsme. [...] TRIGAULT, Nicolas, KIN SSEU-PIAO (Flamand, né à Douai, 1577-1628) arrive à Macao en 1610; Nankin et Pékin, 1611; puis Nankin, 1612. Nommé procureur de la Mission de Chine, il quitte Macao pour Rome en 1613 et rentrant par Lisbonne en 1618, il gagne Macao l'année suivante. Passant à K'ai-feng, en 1623, il fonde la mission du Honan; puis celles du Shansi-Shensi en 1625. Découverte de la stèle nestorienne de Sian (Si-ngan fou), 1625. Son De Christiana Expeditione apud Sinas suscepta, 1615, est la traduction latine du mémoire de Ricci; il eut de nombreuses éditions et traductions. Il y est question des Juifs de K'ai-feng (Juifs de Chine: à travers la correspondance inédite des jésuites du dix-huitième siècle, 1980 - books.google.fr). Les routes des caravanes furent celles des missionnaires qui, pour la plupart, suivirent les marchands. Ainsi commença l'épopée dite "nestorienne” vers la Chine : vers 635, un groupe de moines venus de Mossoul gagna la capitale de l'empire des T'ang (Xian), accompagnant une caravane de commerce; parmi eux, le moine A-lo-pen, considéré comme l'apôtre de la Chine. Il fut le supérieur d'un monastère situé à Si-ngan-fou. Le christianisme syro-oriental fut placé par un édit de 638 au nombre des religions officiellement reconnues par le gouvernement chinois et bénéficia de ce fait de la protection des empereurs. La stèle dite de Si-ngan-fou, érigée en 781 dans l'enceinte du monastère fondé en 638 (découverte en 1625), rappelle ces débuts; il s'agit d'un monument de 2,36 m de haut portant une longue inscription chinoise et syriaque commémorant l'introduction en Chine de la “religion de la lumière" et son intégration dans la vie du pays. Cette stèle porte des noms chinois et syriaques dont certains d'origine iranienne : Yazdbazed est appelé chorévêque de Kumdan (c'est-à -dire Si-ngan-fou); il était fils d'un prêtre de Balkh, Milès. Parmi les moines, on note Yazd-spas dont le nom signifie “reconnaissance envers Dieu”; Anos, “immortel”; Mahdad-Gusnasp, un prêtre. En 845, un édit impérial interdisant le christianisme tout comme le bouddhisme et le mazdéisme provoqua l'expulsion des moines qui se répandirent alors dans les provinces voisines (F. Jullien, Le monachisme chrétien, Chrétiens en terre d'Iran: implantation et acculturation, Tome 1, 2006 - books.google.fr). |