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Première Révolution anglaise II,
22 1647 Le
camp d'Asop d'Eurotte partira, S'adioignant
proche de l'Isle submergée : D'Aarton
classe phalange pliera, Nombril du monde plus grand voix subrogée. Asop (latin Asopus) = rivière de Béotie ; Eurote (latin Eurotas) = rivière de Laconie sur les rives de laquelle se trouve Sparte. On songe à Epaminondas et aux Thébains vainqueurs des troupes spartiates aux batailles de Leuctres et Mantinée où le général mourut (Pierre Brind'Amour, Les premières centuries ou propheties, 1996 - books.google.fr). "l'île submergée" Etymologiquement Péloponnèse est bien l'île de Pélops, et trois auteurs étroitement liés l'ont effectivement considéré comme tel. Denys le Périégète dit de Pelops nesos, au vers 414, traduction latine : media in insula cavam habitant terram Arcades. Priscianus, dont la Periegesis suit de très près celle de Denys, dit de même, au vers 401, Sequitur Pelopis post insula. Eustathe, dans son commentaire 568 à propos des dimensions de Britannia, ajoute : «Ptolémée dans sa Géographie dit que la première île est Taprobane, (...) la troisième la Chersonèse d'or (...), la cinquième le Péloponnèse (Collection Latomus, Volumes 234 à 235, 1997 - books.google.fr). Épaminondas, né à Thèbes entre 420 et 415 av. J.-C., et mort à la bataille de Mantinée le 4 juillet 362, est un général et homme d'État thébain. Il transforme sa cité-État pour la conduire à une position prééminente en Grèce antique et fonde de nouvelles alliances. Epaminondas lance une grande offensive contre le Péloponnèse à la fin de 370, malgré l'hiver et le fait que les béotarques soient en fin de mandat. Épaminondas réunit une des plus grandes armées en son temps (80 000 hommes), les anciens alliés de Sparte ayant rejoint ses rangs. Il pille la Laconie, mais, face à l'habile tactique de guérilla du roi Agésilas II et l'échec d'un premier assaut, il renonce à prendre la ville de Sparte. En 369, il se replie sur la Messénie et libère les hilotes messéniens. Il fait bâtir une cité autour du mont Ithômé, forteresse historique des guerres de Messénie, la fortifie, y installe une garnison thébaine, et invite tous les Messéniens exilés en Grèce ou en Grande-Grèce à rentrer. La nouvelle ville, Messène, considère le thébain comme son œciste, c'est-à -dire son fondateur. Il fonde également Mégalopolis pour bloquer la route du Nord à Sparte. Il relève les murs de Mantinée et met fin à son dioecisme. Ayant déjà dépassé la durée de son mandat, Épaminondas rentre à Thèbes. En rentrant à Thèbes, c'est un procès qui attend Épaminondas pour avoir usurpé la fonction de béotarque sur quatre mois. Il encourt la peine de mort, mais rapidement, le procès tourne au triomphe pour les deux généraux qui ridiculisent leurs adversaires. Épaminondas est de nouveau élu béotarque et conduit une nouvelle fois l'armée dans le Péloponnèse. Sparte n'a pas tardé à lancer une armée contre Mantinée. De plus, à cette occasion Athènes et Corinthe s'allient à Sparte et envoient des troupes pour bloquer le passage de l'isthme. Mais encore une fois, grâce à une ruse de guerre typique de son génie militaire, Épaminondas parvient à passer entre les mailles du filet athéno-corinthien et rejoint ses alliés argiens, éléens et arcadiens. Ils prennent Sicyone, pillent les terres de Pellène et Épidaure. Sur le chemin du retour, ils essayent de prendre Corinthe, mais échouent face au génie d'un autre chef militaire, Chabrias l'Athénien. Après quoi Épaminondas retourne à Thèbes. Épaminondas décide alors de se venger sur Athènes et de menacer son empire maritime. Il fait voter par l'Assemblée la construction d'une nouvelle flotte de cent trières en 368. En 364, les Arcadiens, avec lesquels les relations deviennent tendues, envahissent l'Élide et font main basse sur le trésor sacré d'Olympie. Mantinée, adversaire de Thèbes, proteste et obtient gain de cause auprès de l'assemblée des Dix Mille, qui régit l'Arcadie. Or, le traité entre l'Arcadie et Thèbes interdit une paix séparée. Épaminondas est envoyé pour mettre Mantinée au pas. Celle-ci fait appel à Sparte, qui envoie une armée commandée par Agésilas. La bataille a lieu en 362 sur la plaine de Mantinée. Les Thébains enfoncent les lignes spartiates grâce à leur tactique habituelle et remportent la bataille, mais Épaminondas trouve la mort au cours du combat et Thèbes ne saura pas exploiter ce succès. Ayant reçu dans le combat une blessure mortelle, mais apprenant que l'ennemi est en déroute, il aurait dit : «J'ai assez vécu puisque je meurs sans avoir été vaincu». Comme on regrette qu'il n'ait pas de postérité : «Je laisse, dit-il, deux filles immortelles, Leuctres et Mantinée» (fr.wikipedia.org - Epaminondas). "Arton" Outre "artIMon" pour la voile d'un navire, qui s'associe à "phalange" (vergue) comme l'indique Brind'Amour, on trouve un sens géographique à "Arton"/Arkton. Katerina Karapli remarque que la désignation médiévale de la péninsule de Cyzique était «Oros ton arkton», «Montagne des ours», «ours» étant prononcé arkoúda, Karapli, K., «The first siege of Constantinople by the Arabs (674 – 678) : problems Iconography», pp. 326-327 (Jean-Charles Ducène, L'Europe et les géographes arabes du Moyen Age, 2018 - books.google.fr). En 364, la flotte thébaine prit la mer, sous le commandement d'Epaminondas; le stratège Lachès ne put empêcher la défection de Byzance, de Chios et de Rhodes; mais cette défection ne se prolongera guère, Epaminondas n'ayant pas obtenu la prépondérance navale que lui eût procurée seulement une victoire décisive sur les meilleurs des stratèges athéniens; or, il ne rencontra même pas Timothéos, Iphicratès ou Chabrias, soit par hasard, soit de propos délibéré. Timothéos ne tardera pas, d'ailleurs, à occuper Sestos, l'une des clefs de l'Hellespont, et à ressaisir Byzance; puis, il libérera Cyzique et occupera différentes villes de Chalcidique. Bref, la croisière d'Epaminondas ne donna que des résultats peu durables; mais le mérite n'était pas mince d'avoir projeté et organisé une entreprise d'une pareille ampleur. Les événements dont Céos fut le théâtre vers la même époque devaient aboutir également à un insuccès pour la cause thébaine (364-362) (Paul Cloché, Thèbes de Béotie, 1950 - books.google.fr). Vers 4 : la pythie remplacée Le "nombril du monde" serait l'omphalos de Delphes et la "plus grand voix" la Pythie, prêtresse d'Apollon (Brind'Amour). Pausanias parcourait la Grèce vers le temps d'Adrien. Arrivé en Messénie, il se fit raconter par les prêtres la fondation de la ville de Messène et il nous a transmis leur récit. L'événement n'était pas très-ancien; il avait eu lieu au temps d'Épaminondas. Trois siècles auparavant, les Messéniens avaient été chassés de leur pays, et depuis ce temps-là ils avaient vécu dispersés parmi les autres Grecs, sans patrie, mais gardant avec un soin pieux leurs coutumes et leur religion nationale. Les Thébains voulaient les ramener dans le Péloponèse pour attacher un ennemi aux flancs de Sparte; mais le plus difficile était de décider les Messéniens. Épaminondas qui avait affaire à des hommes superstitieux, crut devoir mettre en circulation un oracle prédisant à ce peuple le retour dans son ancienne patrie. Des apparitions miraculeuses attestèrent que les dieux nationaux des Messéniens, qui les avaient trahis à l'époque de la conquête, leur étaient redevenus favorables. Ce peuple timide se décida alors à rentrer dans le Péloponèse à la suite d'une armée thébaine. Mais il s'agissait de savoir où la ville serait bâtie; car d'aller réoccuper les anciennes villes du pays, il n'y fallait pas songer; elles avaient été souillées et funestées par la conquête. Pour choisir la place où l'on s'établirait, on n'avait pas la ressource ordinaire de consulter l'oracle de Delphes; car la Pythie était alors du parti de Sparte. Par bonheur, les dieux avaient d'autres moyens de révéler leur volonté; un prêtre messénien eut un songe où l'un des dieux de sa nation lui apparut et lui dit qu'il allait se fixer sur le mont Ithome et qu'il invitait le peuple à l'y suivre. L'emplacement de la ville nouvelle étant ainsi indiqué, il restait encore à savoir les rites qui étaient nécessaires pour la fondation; mais les Messéniens les avaient oubliés; ils ne pouvaient pas d'ailleurs adopter ceux des Thébains ni d'aucun autre peuple; et l'on ne savait comment bâtir la ville. Un songe vint fort à propos à un autre Messénien: les dieux lui ordonnaient de se transporter sur le mont Ithôme, d'y chercher un if qui se trouvait auprès d'un myrte et de creuser la terre en cet endroit. Il obéit; il découvrit une urne, et dans cette urne des feuilles d'étain, sur lesquelles se trouvait gravé le rituel complet de la cérémonie sacrée. Les prêtres en prirent aussitôt copie et l'inscrivirent dans leurs livres. On ne manqua pas de croire que l'urne avait été déposée là par un ancien roi des Messéniens avant la conquête du pays. Dès qu'on fut en possession du rituel, la fondation commença (Numa Denis Fustel de Coulanges, La cité antique, étude sur le culte, le droit, les institutions de la Grèce et de Rome, 1864 - books.google.fr). Acrostiche : LSDN, Lysiden IN EPAMINONDAM. Philosophiæ præcept, hab, Lysiam. Meminit Cicera Cicero in officijs. Laërtius in uita Pythagora non Lysiam hunc sed Lysiden dictu adferit (Cornelius Nepos, Liber Aemylii Probi Historiographi Veteris Et Praeclari, de vitis excellentium Graeciae Principum et Ducum, ad T. Pomponium Atticum, Ciceronis familiarem, 1543 - books.google.fr). Une tradition ancienne faisait du célèbre général et homme politique Épaminondas un pythagoricien; il serait devenu disciple de Lysis, après que ce dernier - l'un des seuls survivants, avec Archippe (A 321), du massacre des pythagoriciens à Crotone se fut réfugié à Thèbes. Voir Porphyre, V. Pyth. 55; Jamblique, V. pyth. 35, 250; Diogène Laërce VIII 7; Cornelius Nepos, Épamin. 2; Cicéron, De officiis I 44, 155; De oratore III 24, 139; Diodore de Sicile X 11, 2; XV 39, 2; XVI 2, 2; Dion Chrysostome, Or. 49, 5; Pausanias IX 13; Plutarque, De gen. Socr. (en particulier 583c; 585 d-e), où Épaminondas figure parmi les participants au dialogue; Épaminondas aurait appelé Lysis "père", selon Jamblique, V. pyth. 35, 250, p. 134, 20-21 Deubner. Si Épaminondas a été disciple de Lysis de Tarente, cela n'a pu se produire qu'au début du IVe siècle (Richard Goulet, Dictionnaire des philosophes antiques, Tome 3, 1994 - books.google.fr). Le report de 1647 sur la date pivot -362 donne -2371. Epoque du roi de l'égyptienne Thèbes Apappus qui serait le même qu'Epaphus fils d'Io et de Jupiter, fondateur de Memphis, et qu'Apis (Nicolas Lenglet Du Fresnoy, Tablettes chronologiques de l'histoire universelle sacrée et prophane, ecclésiastique et civile, depuis la création du monde, jusqu'à l'an 1743, Tome 1, 1744 - books.google.fr). Pour Io et Jupiter, cf. quatrain X, 53. Zeus tombant un jour amoureux d’Europe, fille du roi phénicien Agénor et de la reine Téléphassa et pour éviter la jalousie de son épouse, Héra, prit l’apparence d’un taureau blanc, puis enleva Europe et l’emmena jusqu’en Crète. Agénor envoya alors ses fils à sa recherche. Après un long et vain périple qui l’avait conduit à Rhodes et en Thrace, l’un des fils, Cadmos, arriva en Phocide. Il se rendit à Delphes pour demander conseil à la Pythie. Celle-ci lui ordonna de suivre la première vache qu’il rencontrerait et de fonder une ville là où elle s’arrêterait. Cadmos obéit, et la vache le mena jusqu’en Béotie. Cadmos décida alors de la sacrifier à Athéna. Il envoya plusieurs de ses compagnons chercher de l’eau pour le sacrifice, mais un dragon les massacra presque tous. Cadmos le combattit et le tua. Athéna lui conseilla de semer les dents du dragon. À l’endroit où il s'exécuta, des hommes armés surgirent de terre. On les appela Spartes ou Spartoi, «hommes semés». Cadmos leur jeta une pierre et chacun croyant que la pierre avait été lancée par un des autres, ils s’entre-tuèrent. Seuls cinq survécurent : Échion, Udéos, Chthonios, Hypérénor, et Péloros. Cadmos fonda avec eux une ville du nom de Cadmée, là où ne se trouvaient auparavant que quelques bourgs épars. Bien des années plus tard, Amphion et Zéthos prirent le pouvoir en tuant leur oncle Lycos, régent de la cité. Ils bâtirent alors une autre ville, en dessous de la Cadmée, et ils fortifièrent le tout en érigeant autour un rempart percé de sept portes. Ils nommèrent cette deuxième ville Thèbes, en l'honneur de Thébé, une nymphe, fille du dieu-fleuve Asopos, qui coulait près de la cité. La légende veut que pour bâtir le mur, Zéthos soulevait péniblement les pierres, alors qu'Amphion les soulevait sans peine, uniquement grâce au son de sa lyre (fr.wikipedia.org - Thèbes (Grèce)). Pour les Spartes, cf. quatrain VI, 84 - Jean Marie Lepen - 1987-1988. En Angleterre Au XVIIème siècle, dans un ouvrage de 1654, le poète John Milton compare Cromwell à Epimanondas : "In this instance bis fame may rival that of Cyrus, of Epaminondas, or any of the great generals of antiquity" (John Milton, The second defence of the people of England, Prose Works (1654), 1851). Le nombril du monde peut désigner Naseby, irréparable défaite du 14 juin 1645 infligée à l'armée royale par les troupes d'Oliver Cromwell. Le roi Charles Ier se réfugia au camp des Ecossais qui le livrèrent à ses ennemis. Il est enfermé un temps à Northampton. Cromwell épure le Parlement qui était resté royaliste, et qui votera la mise en jugement du roi. Ce dernier est exécuté le 9 février 1649, devant le palais de Whitehall. Dès le début du règne d’Édouard III (1327–1377), le Parlement, créé en 1215 par la Grande Charte, se scinde en deux chambres distinctes, la Chambre des lords et la Chambre des Communes, cette dernière composée de chevaliers et de bourgeois élus ; le bas clergé disparaît au cours du XIVe siècle. Le Parlement croupion (anglais : Rump Parliament, rump signifiant «tronqué» ou «restant») est ce qui reste du Long Parlement britannique après la purge de Pride du 6 décembre 1648. Il va siéger du 6 décembre 1648 au 20 avril 1653. Charles Ier fut emmené au château de Hurst (en) à la fin de l'année 1648 puis au château de Windsor. En janvier 1649, le Parlement créa un tribunal spécial pour juger Charles Ier pour haute-trahison. La Haute-Cour de Justice présidée par John Bradshaw proposa une interprétation de la loi qui légitimait le procès : « la proposition fondamentale est que le roi d'Angleterre n'est pas une personne mais une fonction dont chaque occupant reçoit un droit limité à gouverner « par et selon les lois du pays et non l'inverse » (fr.wikipedia.org - Parlement d'Angleterre, fr.wikipedia.org - Parlement croupion). La voix peut faire référence aux votes parlementaires. In 1086 Naseby appeared in the Domesday Book, by which time Hnaefes-Burgh had evolved into Navesberie. In later records the village had been known as Navesby and Nathesby, eventually becoming Naseby. It is interesting to note that it was believed that the name derived from the Old English naefela, meaning navel, because it was thought to be the navel of England (en.wikipedia.org - Naseby). C'est dans le Journal de guerre de Richard Symonds que l'on trouve l'étymologie "navel" de Naseby : Killed this battalle of Navesburge, Naseby, Navelsburgh, in the Navel of the Kingdome... (Richard Symonds: the complete military diary, présenté par Stuart Peachey, 1989 - books.google.fr). Richard Symonds est né et baptisé le 12 juin 1617 à Black Notley, près de Braintree (Essex), issu d'une famille d'hommes de loi. Il entre à l'Emmanuel College de Cambridge en 1632 et suit des études de droit. Il devient greffier de la Court of Chancery comme son père. Avec la Première révolution anglaise, il prend le parti royaliste et intègre la garde montée du roi en tant que soldat ordinaire. Il prend part à des combats du printemps 1644 au début de l'année 1646. Il participe à des combats en Cornouailles, à la bataille de Newbury en octobre 1644 puis à celle de Naseby le 14 juin 1645. La guerre perdue l'incite à partir à l'étranger et à entamer un Grand Tour. Il commence par la France en 1649 notamment en visitant les monuments parisiens, puis part pour Rome où il reste dix-neuf mois. C'est l'occasion pour lui d'observer les milieux artistiques et d'apprendre l'Italien. Il rencontre Nicolas Poussin et note les habitudes des artistes et de leurs ateliers. Il retourne en Angleterre en décembre 1651 et notamment à Londres où il recueille dans son journal de nombreuses anecdotes su l'actualité politique et artistique de son temps. En 1655, il est arrêté probablement pour être entré en contact avec d'anciens soldats royalistes comme lui. Il est finalement libéré la même année. Il décède en 1660 et enterré à Londres. Symonds a compilé 4 carnets de notes sur les événements de la Première Guerre civile entre 1644 et 1646, intitulé Journal des marches de l'amée royale. Il existe par ailleurs 4 carnets de notes sur les églises, bâtiments publics et images de Paris et Rome et 2 carnets de notes sur les images et peintures de Rome (fr.wikipedia.org - Richard Symonds). Again, Henry Lee (M.S.S. circa 1700) speaking of Northampton, says : "The River Nyne, alias Nen, runs by the Castle from Naseby, alias Navelsby or the Navel of the Nation, for from that Hill are Springs that make and supply three Nyne on the South, Woollam on the North, running thro' Harborrow and Stamford, and Avon running South-West to Stratford-upon-Avon" (Beeby Thompson, The river system of Northamptonshire, Journal of the Northamptonshire Natural History Society and Field Club, Volumes 19 à 20, 1919 - books.google.fr). On connaît le tableau de Nicolas Poussin, Les Bergers d'Arcadie. On peut trouver des liens entre Poussin et Mantinée où est mort le général thébain Epaminondas (nonagones.info - Autour de Rennes : Les Bergers d’Arcadie ts ts !, nonagones.info - Autour de Rennes : Poussin pouvait-il connaître le Jugement de Mantinée ?). C'est en 1648 que naît le Marquis de Wharton ("D'Aarton"), chef organisateur du parti Whig, défenseur des droits du Parlement contre les empiétements royaux. Il en anima le groupe le plus violent, et s'opposera avec force au roi Jacques II. Les Whigs reçurent leur nom en souvenir des convenantaires écossais, à l'origine de la première révolution. Le parti triomphe avec le remplacement de la dynastie Stuart par les Hanovres en 1714. |