Mauvais roi

Mauvais roi

 

II, 56

 

1672

 

Que peste et glaive n'a sut definer,

Mort dans le puits sommet du ciel frappé,

L'abbé mourra quand verra ruiner,

Ceux du naufrage l'Ă©cueil voulant grapper.

 

"abbé"

 

Le mot «abbé», attesté en français depuis 1080 sous la forme abet, est issu de l'accusatif abbatem du latin abbas, dérivé du grec ancien "abba", lui-même provenant de l'araméen abba désignant dans une forme familière le «père». En syriaque, le terme abba désignait un dignitaire civil ou religieux et le mot a pu être repris dans le monachisme chrétien dès ses origines en Orient, vers le IIIe siècle. C'est aussi depuis le XVIIe siècle le terme en usage en français pour désigner un prêtre séculier (c'est-à-dire non religieux au sens propre) ayant au moins reçu la tonsure (ordres mineurs), une évolution qui est apparue lorsque les bénéfices des abbayes ont été perçu non plus par des réguliers résidents mais par des séculiers (fr.wikipedia.org - Abbé).

 

La Congrégation des Oratoriens fut fondée en France, en 1611, par Pierre de Bérulle qui suivit l'initiative prise, en Italie, par Philippe de Neri. La congrégation est constituée de prêtres séculiers (www.idref.fr).

 

FouchĂ© fut un sujet exceptionnel. Il Ă©tait douĂ©, en effet, d'une intelligence remarquable, d'une fermetĂ© de caractère inĂ©branlable, mais d'une amoralitĂ© complète. Il est pourtant prĂŞtre, il est tonsurĂ©, il est Oratorien, et comme tel, soumis aux règles de l'ordre. Il n'a d'avenir que ce que son ordre voudra bien lui rĂ©server ; mais il reste dans les ordres mineurs (AndrĂ© Demoreuil, L'enlèvement de Louis XVII: et les dessous du IX Thermidor, 1951 - books.google.fr).

 

Référence un peu tardive pour l'époque du quatrain mais représentative du parcours des oratoriens qui ne faisaient pas de voeux.

 

Mauvais roi

 

C'Ă©tait une croyance fort ancienne Ă  Rome qu'un roi criminel pouvait ĂŞtre frappĂ© par la foudre de Jupiter ; les haruspices recueillaient ses membres, et les enterraient Ă  l'endroit mĂŞme oĂą le coupable avait Ă©tĂ© puni. L'endroit, protĂ©gĂ© par une barrière, Ă©tait dĂ©sormais frappĂ© d'interdit : on lui donnait le nom de bidental ou puteal (Notes sur la ClĂ©mence) (Pierre Richard, TraitĂ©s philosophiques de SĂ©nèque, 1933 - books.google.fr).

 

"glaive" (gladius en latin) est un marqueur de romanité.

 

Jean-François Senault (Anvers, 1604 ou 1599 - 1672), est un prédicateur français, supérieur général de l'Oratoire de Jésus. Le Père Bourgoin, supérieur général de l'Oratoire, étant mort en 1662, Senault est choisi pour lui succéder, et ses confrères n'ont aucun égard aux représentations qu'il fait pour refuser cet honneur. La confiance qu'il inspire dans l'exercice de ces honorables fonctions est aussi générale que les suffrages qui l'ont placé à la tête de son ordre ont été unanimes, et il administre avec tant de bienveillance qu'il est appelé «les délices de la congrégation». Dix ans après avoir revêtu de la dignité de supérieur général, il est frappé d'une attaque d'apoplexie, dont il meurt le 3 août 1672 (fr.wikipedia.org - Jean-François Senault).

 

Un peu moins de deux ans après l'entrĂ©e de Louis XIV Ă  Paris (26 aoĂ»t 1660), quelques mois après la mort de Mazarin (9 mars 1661), le libraire Pierre Le Petit publie Ă  Paris Le monarque, ou les devoirs du souverain. L'approbation date du 20 juin 1661, le privilège du 3 juillet. L'ouvrage est achevĂ© d'imprimer le 17 septembre. A la veille de devenir supĂ©rieur gĂ©nĂ©ral de l'Oratoire , poste qu'il assumera de 1663 Ă  1672, l'auteur prĂ©sente au jeune l'auteur prĂ©sente au jeune Louis XIV, en plus du portrait idĂ©al du roi qu'il y trace, un miroir moral dans lequel celui-ci doit chercher Ă  se reconnaĂ®tre tout moment. L'ouvrage se divise en huit traitĂ©s, se subdivisant chacun en huit discours. [...] Le quatrième traitĂ©, qui expose les devoirs du monarque envers lui-mĂŞme, met l'accent sur les qualitĂ©s de coeur. Le roi ne peut ĂŞtre que bon. Un mauvais roi est une contradiction de termes. Mauvais roi = tyran. Comme d'autres avant lui, Senault accepte la lĂ©gitimitĂ© du tyrannicide. De cette première qualitĂ©, la bontĂ©, dĂ©coule une sĂ©rie d'oxymorons qui viennent s'ajouter Ă  ceux qui circonscrivent dĂ©jĂ  le corps politique du roi : le roi doit doit ĂŞtre Ă  la fois grand et humble, fier et doux, majestueux et modeste. [...]

 

Si les orateurs funèbres et autres thuriféraires du roi défunt annoncent à leur auditoire ou lectorat ce que celui-ci croit ou sait déjà (ou fait semblant de croire ou de savoir), à savoir, que Louis XIV était un monarque exemplaire, les chansonniers et autres épigrammatistes font la même chose, mais "en creux", pour ainsi dire, pour conforter leur auditoire à eux ou croit, à savoir que Louis XIV était un mauvais roi. Rappelons que selon les théories de la souveraineté depuis le Moyen Age, l'expression «mauvais roi» constitue un oxymoron, le roi ne pouvant être que bon (Francis Assaf, La mort du roi, une thanatographie de Louis XIV, 1999 - books.google.fr).

 

Dans l'interprétation du quatrain II, 37, Louis XIV tombe malade, en 1658, du typhus appelé souvent peste à l'époque, dont il réchappe pour mourir dans son lit en 1715, malgré les batailles auxquelles il participa ("glaive").

"puys" : Puteal

 

Les Romains appelaient primitivement puteal la margelle d'un puits ; mais ce nom fut appliqué bientôt à de petites enceintes circulaires qu'on élevait autour des places consacrées, et, le plus souvent, sur les lieux qui avaient été frappés de la foudret, afin qu'ils ne pussent être souillés par un pied profane. Il faut se garder de confondre avec le puteal ce que les Romains nommaient bidental et qui était un édifice consacré par l’immolation d'une brebis de deux ans, bidens. Cette dénomination fut appliquée plus tard au petit temple circulaire qu’on élevait autour d'un puteals. Le plus ancien puteal dont l'histoire fasse mention est celui qui fut construit dans le Forum romain par Sempronius Libon, l'an de Rome 559; ce préteur, ayant établi son tribunal auprès de ce monument, celui-ci devint le point de réunion des plaideurs, et ses successeurs ayant imité son exemple, le mot puteal fut bientôt à Rome synonyme de tribunal (Ernest Breton, Pompeia décrite et dessinée, 1855 - books.google.fr).

 

"naufrage"

 

Grapper, se grapper, s'attacher à un objet, s'y étendre. — On dit se grapper contre terre (Frédéric Pluquet, Contes populaires, préjugés, patois, proverbes, noms de lieux de l'arrondissement de Bayeux, 1834 - books.google.fr).

 

Le senault ou senau («snow», «snauw» ou «brig-snow» en anglais) est un navire de commerce gréé en brick mais portant un mâtereau nommé mât ou baguette de senau, en arrière du grand mât, avec une corne enverguant un artimon, appelée voile de senau. Moins fin que le brick, plus lourd, avec un plus grosse carène, le senau est un deux mats gréé de voiles carrées. Il était utilisé autrefois dans le commerce ou la marine de guerre à voile à son apogée au XVIIIe siècle (diacritiques.blogspot.com, fr.wikipedia.org - Senau).

 

Après s'être assuré, dans sa visite, de l'état où se trouvait la Congrégation, il chercha à y ranimer l'esprit de son fondateur, qui l'avait destinée à la réforme des abus que les désordres du siècle précédent avaient introduits dans le clergé. C'est ce qu'on voit par le discours qu'il prononça à l'ouverture de l'assemblée de 1666, qui suivit celle de son élection.

 

«Comme notre très-honoré Père avait été choisi de Dieu pour renouveler l'esprit sacerdotal dans l'Eglise, il s'était toujours appliqué aux besoins des pères, et aux désordres qui s'étaient glissés parmi eux, et il en avait remarqué trois principaux, qui étaient comme la source de tous les autres. Le premier était le luxe et l'avarice qui ne se séparent jamais : car la dépense jette dans la nécessité, et la nécessité jette insensiblement les hommes dans l'avarice ; le second était l'ambition qui se glisse partout, et qui n'épargne non plus l'Eglise que les Etats; et enfin, le troisième était l'oisivaté, qui est la inère de lous les vices, et qui peut elle seule les faire naitre, s'ils n'étaient pas, ou les faire revivre, s'ils n'étaient plus. Il crut que, pour remédier à ces trois grands maux, il fallait établir une compagnie de prêtres dans l'Eglise, où il y eût pauvreté en l'usage contre le luxe et l'avarice; dont les sujets fissent profession de ne rechercher aucun bénéfice contre l'ambition; et de s'employer aux fonctions ecclésiastiques contre l’inutilité. Voilà le premier projet de sa Congregation. [...]

 

Le troisième mal, qui causait la perte des prêtres, était leur inutilité. Comme ils n'avaient rien à faire, et qu'ils passaient toute leur vie dans une molle oisiveté, ils cherchaient à se divertir, et ne s'occupant pas dans leurs charges, ils tombaient malheureusement ou dans l'ivrognerie et la bonne chère, ou dans la dissolution et dans l'impureté. Les moins criminels étaient ceux qui s'amusaient à bâtir ou à chasser, et qui, prenant ces divertissemens profanes et séculiers, croyaient avoir beaucoup fait pour eux et pour l'Eglise, s'ils évitaient les écueils où les autres faisaient naufrage. Contre ce mal, qu'on peut appeler la source de tous les autres, puisqu'il n'y a point de péché dont un homme inutile ne soit capable, notre saint instituteur pense qu'il fallait établir une Congrégation qui fùt tout occupée dans les fonctions ecclésiastiques, qui nourrit ses enfans à la prédication dans les villes, à la mission dans la campagne, à la confession en tous lieux, à l'instruction de la jeunesse dans les colléges, à celle des ecclésiastiques dans les séminaires, au service des prélats dans leurs diocèses, et généralement à tous les emplois que demande d'eux le caractère sacerdotal. En effet, la Congrégation embrasse tous ces exercices, nourrit ses sujets à ces glorieux travaux, et ne les élève dans son sein que ponr rendre tous ces services à l'Eglise. Voilà, mes révérends Pères, le projet de notre illustre fondateur.»

 

Les soins multipliés que le gouvernement de l'Oratoire exigeait du P. Senault, ne lui firent point abandonner les fonctions du ministère. Il continua de prêcher sans relâche, soit des stations d'avent et de carême, soit des discours détachés, lorsque quelque événement public lui en fournissait l'occasion, ou lui en imposait le devoir. Tant de travaux affaiblirent sa santé, et lui causèrent plusieurs maladies graves. Mais enfin, il fut frappé d'une attaque d'apoplexie, qui, en quatre jours, le conduisit au tombeau, le 3 août 1672. Ses funérailles furent célébrées en présence d'un grand nombre de prélats. M. de Janson, évêque de Marseille, depuis cardinal, y officia. M. de Fromentières, son disciple, mort évêque d'Aire, prononça son oraison funèbre, quelques mois après, en présence de l'assemblée générale de la Congregation, convoquée pour l'élection de son successeur (M. Tabaraud, Histoire de Pierre de Bérulle, Tome 2, 1817 - books.google.fr).

 

Fromentières sera toujours appelé Abbé Fromentières, ayant comme bénéfice l'abbaye du Jard (Paul Lahargou, Messire Jean Louis de Fromentières, évêque & seigneur d'Aire, prédicateur ordinaire du roi, 1632-1684, étude biographique & critique, 1892 - books.google.fr).

 

Si l'état de prêtre de l'Oratoire est compatible avec le titre d'abbé, Senault ne le porte pas.

 

Acrostiche : QM LC

 

QM : quoniam ; LC : Lacus Curtius.

 

Un relief en marbre datant probablement de l'Ă©poque de Jules CĂ©sar a Ă©tĂ© dĂ©couvert Ă  proximitĂ© en 1553, il reprĂ©sente le hĂ©ros Curtius se jetant dans le gouffre. Historiquement, c’est près du Lacus Curtius que Galba est massacrĂ© en 69 par des soldats de sa garde. Plusieurs traditions antiques expliquent sa crĂ©ation. La version Ă©voquĂ©e par Varron ne fait pas appel au surnaturel : la foudre Ă©tant tombĂ© sur ce lieu, y imprimant la marque de Jupiter, le SĂ©nat aurait ordonnĂ© au consul de 445 avant J.-C. Caius Curtius d'enclore ce lieu devenu sacrĂ© (fr.wikipedia.org - Lacus Curtius).

 

Lacus Curtius ad forum est, Ă  Curtio dictus, velut Procilius scribit : quoniam cum olim illic terra dehisceret: & aruspices respondissent, deum Manium poscere Stulionem, id est virum fortiffimum : Curtius quidam armatus equo fe in voraginem deiecit : atque ita terra hiatum obduxit : locusque feruauit æternum Curtij pomen (Emeric CrucĂ©, In Stati sylvas, Commentarius, 1618 - books.google.fr).

 

C'est ainsi que, dans les Silves du poète Stace, Domitien Ă  cheval est «tel que, les rĂŞnes en main, l'ont vu naguère le Rhin et la demeure inaccessible du Dace Ă©pouvanté» (I, 1, 6-7) ; sa sĂ©rĂ©nitĂ© (v. 15-16) s'oppose au furor des Barbares (v. 25-27) ; son regard dirigĂ© vers le Palatin et le temple de Vesta suscite une rĂ©trospective sur les incendies des guerres civiles et l'impiĂ©tĂ© des Vestales (v. 33-36) ; la proximitĂ© du Lacus Curtius suggère une Ă©piphanie du hĂ©ros qui rĂ©capitule les victoires de l'empereur sur le plan civil et militaire, en un style très proche de celui des hymnes (Anne-Marie Taisne, L'esthĂ©tique de Stace, la peinture des correspondances, 1994 - books.google.fr).

 

Domitien serait le "NĂ©ron chauve" contractĂ© en "Chaulveron" du quatrain IX, 76. Louis XIV perdit ses cheveux lors de sa maladie due au typhus en 1658 : cf. quatrain II, 37.

 

Domitien, que Juvénal appelle un Néron chauve, triomphateur qui achète la paix aux barbares, qui fait des lois contre l'adultère, et vit en adultère public avec sa nièce, qui assassine cette nièce, voulant la faire avorter, tyran effroyable qui couvre l'empire de délateurs, et qui trouve pourtant Tacite pour le servir, Martial pour le flatter, Quintilien pour en faire un consul (Nisard, Juvénal, Revue de Paris, Tome 16, 1830 - books.google.fr).

 

Émeric Crucé ou Émeric de la Croix (1590 ? - 6 décembre 1648), fils d'un ancien ligueur, Odin Crucé, est un moine français, des rares éléments connus le concernant on peut le supposer d’origine modeste. Il enseigna dans un collège parisien dans cette période qui suit les guerres de religion.

 

Il publie en 1623 le Nouveau Cynée ou Discours d'Estat représentant les occasions et moyens d'establir une paix générale et la liberté de commerce pour tout le monde. Crucé fait effectivement de la paix l’axe de sa pensée philosophique et politique. Son pacifisme est radical, et il le tient comme la valeur suprême de l’ordre international qu’il préconise. Et pour préserver résolument la Paix, il imagine une Assemblée permanente des Princes ou de leurs représentants, siégeant à Venise et ayant obligation de régler les conflits, hors de toute préséance religieuse. Crucé lie ses perspectives d’unification solidaire des États à des objectifs tant sociaux qu’économiques et politiques pour les princes et les peuples concernés. Ainsi son projet se conçoit-il dans un contexte de libre-échange encore plus révolutionnaire qu’il n’y paraît, puisque reposant lui-même sur une monnaie commune et un système commun de poids et mesures. Il ajoute une responsabilité sociale de l’État dans la nécessité du bien public, l’obligeant pour cela même à financer certaines activités (fr.wikipedia.org - Emeric Crucé).

 

On pense à l'abbé Castel de Saint Pierre.

 

Charles-Irénée Castel de Saint-Pierre, connu sous le nom d'abbé de Saint-Pierre, né le 13 février 1658 à Saint-Pierre-Église et mort le 29 avril 1743 à Paris, est un écrivain et académicien français. Il est un représentant du courant des Lumières politiques favorable à des réformes impulsées par l'autorité monarchique. Il est surtout connu pour avoir pensé un monde sans guerre.

 

L'abbĂ© de saint-Pierre est surtout cĂ©lèbre pour son Projet pour rendre la paix perpĂ©tuelle en Europe, dont il rĂ©dige quatre versions entre 1708 et 1712, la dernière publiĂ©e en 1713, sous l'adresse d'Antoine Schouten Ă  Utrecht. Il souligne l’impossibilitĂ© d’assurer la paix par une puissance hĂ©gĂ©monique (la monarchie universelle) mais surtout par l'Ă©quilibre des puissances considĂ©rĂ© Ă  son Ă©poque comme le meilleur moyen de maintenir la paix. Il montre qu'au contraire cet Ă©quilibre mène aux conflits entre nations : «Qui ne voit que dans le système de l'Ă©quilibre on ne trouve de sĂ»retĂ© que les armes Ă  la main ?» Exprimant des idĂ©es proches de celles du Nouveau CynĂ©e (1623) d'Émeric CrucĂ© et de l'Essai sur la paix prĂ©sente et future (1693) de William Penn, il adopte une approche juridique et le modèle d’une fĂ©dĂ©ration d’États en s'inspirant de l'"union germanique" (fr.wikipedia.org - Charles-IrĂ©nĂ©e Castel de Saint-Pierre).

 

Dans la Polysynodie où Castel défend le gouvernement des conseils, et il fut démontré que Louis XIV, un mauvais roi sans éducation, sans lecture, sans grandeur, avait ruiné la France. On avait tout à lui reprocher, ses guerres, ses constructions, son inapplication aux affaires, la médiocrité de son esprit, le cérémonial de sa cour, sa passion pour la gloire, son point d'honneur vis-à-vis de l'étranger, son goût enfin pour les fêtes, pour les cartes, les mascarades, les comédies et les petites intrigues d'amour (Édouard Goumy, Les révolutions de Naples, Partie 1, 1860 - books.google.fr).

 

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