The Old Pretender III, 16 1716-1717 Vn prince Anglois Mars à son coeur de ciel, Vouldra poursuiure sa fortune prospere: Des deux duelles l'vn percera le fiel, Hay de luy, bien aymé de sa mere. Un foie Yvain, le chevalier au lion, n'a point de ces secousses, ni de ces emportements de brute c'est un héros bien élevé et digne, ses combats ressemblent tous à des duels : pour un peu il prierait son adversaire de commencer (Annales de Bretagne, Volume 8, 1892 - books.google.fr). Yvain mène deux combats contre des êtres surnaturels : le géant Harpin et les deux démons (Keith Busby, Les Manuscrits de Chrétien de Troyes, Tome 1, 1993 - books.google.fr). Les aventures d'Yvain dans la troisième partie du roman le mettent aux prises, lui et son lion, avec des adversaires singuliers, un géant, les deux fils d'un démon; Chrétien, qui n'était plus contraint par les règles du combat chevaleresque, a donné alors libre cours à sa verve et à sa fantaisie épique. C'est ainsi que des traits de bouffonnerie égayent, aux dépens du géant horrifique, la lutte d'Yvain et de Harpin de la Montagne (vers 4194-4247) : ce dernier combat comme un être stupide, et sa masse pléthorique justifie l'emploi de termes de boucherie et de cuisine où se condense un comique truculent. Harpin, trop confiant dans sa force, n'a pour toute armure qu'une peau d'ours, et il brandit pour l'attaque un pieu énorme et bien aiguisé; Yvain fonce le premier, crève la peau d'ours, plonge le fer de sa lance dans la poitrine du géant et le baigne dans le sang "comme dans de la sauce". Harpin riposte, et d'un bon coup de son pieu, fait plier le dos d'Yvain. Celui-ci tire son épée et, du tranchant, il taille dans la joue de son adversaire "une charbonee", toute une grillade; sur quoi, un nouveau coup de pieu ploie Yvain jusque sur l'encolure de son destrier. Le lion entre alors en scène, et son intervention accélère le découpage du géant , un vrai travail d'abattoir : il déchire comme une écorce la peau d'ours, arrache "un grand morceau de hanche" et tranche largement dans les "braons" - les parties charnues, mollets, gras des cuisses et fesses, de quoi faire un rôti substantiel. Harpin beugle comme un taureau. En vain il lève son pieu à deux mains et l'abat, le lion fait un bond en arrière et le coup tombe dans le vide. Yvain achève la brute qui n'a plus le temps de se reconnaître; il l'"entre-larde" de deux coups d'épée : il frappe de taille, et détache l'épaule du tronc; il frappe d'estoc, sous la "mamelle", et enfonce toute la lame dans "le foie" - autant dire la fressure. Et le géant ou ce qui en reste s'écroule. Cette page héroïque et comique à la fois suffirait à prouver que Chrétien peintre de batailles ne manquait pas de brio (Jean Frappier, Yvain, ou, Le chevalier au lion, 1958 - books.google.fr). Yvain, prince anglais Urien, fils de Cynfarch Oer, était, vers 560-590, un roi breton du Rheged, l'un des petits royaumes bretons de ce que les Gallois appellent aujourd'hui le Hen Ogledd (le vieux nord), au nord de l'actuelle Angleterre et au sud de l'Écosse. Ce royaume résistait à l'invasion des Saxons, ou plus précisément des Angles du royaume voisin de Bernicie (fr.wikipedia.org - Urien). Yvain est prince de Gorre ou de Somerset qui se trouve en Angleterre actuelle. Par là il est Anglais mais ni Angle ni Saxon. "fortune prospère" Que un prodonme mout deboinaire Nous a Dix et boine aventure Chaiens tramis, qui m'aseüre Qu'il seconbatra au gaiant traduit en "Dieu et la bonne fortune nous ont adressé ici, dans notre demeure, un noble homme très généreux, qui m'assure qu'il combattra le géant" (Chrétien de Troyes, Le Chevalier au Lion, 2016 - books.google.fr). "aventure" "ce qui arrive inopinément à qqn, ce qui arrive par hasard, par accident; risque, péril, fortune." (Godefroy 1881 VIII, 252). Le mot vient en effet du latin populaire aventura (du participe futur de advenire) (Joan T. Grimbert, Yvain dans le miroir : une poétique de la réflexion dans le Chevalier au lion de Chrétien de Troyes, 1988 - books.google.fr). "bien aimé" Parmi les autres témoignages que nous avons sur Morgane, ceux de Chrétien sont sans doute les plus anciens. [...] Au XIIe siècle, c'est par son savoir médical que Morgane est surtout connue et appréciée. Elle fut considérée comme la fée guérisseuse par excellence. Chez Chrétien de Troyes, c'est elle qui procure l'onguent merveilleux permettant de soigner les blessures d'Érec et celui qui permet à Yvain de recouvrer la raison. Elle est parfois présentée comme une brodeuse très habile, talent qu'elle partage avec d'autres fées. Dès le premier roman de Chrétien de Troyes, Érec et Énide, elle devient en outre la sœur du roi Arthur, lien de parenté nullement mentionné jusque-là . D'autre part, une vie amoureuse lui est attribuée. Dans les versions les plus anciennes, son amant ou son ami porte le nom de Guigomar, Guingamar. C'est un tout jeune homme, un parent de la reine Guenièvre, laquelle prendra très vite ombrage de cette passion et s'opposera au dévoiement de cet adolescent par une femme beaucoup trop avertie. Amoureuse et mal aimée, Morgane subit au XIIIe siècle une véritable dégradation : dégradation physique, morale et métaphysique. Toutes ces déchéances vont d'ailleurs de pair (Francis Dubost, La Magicienne amoureuse dans le récit médiéval, La magie : Du monde latin au monde contemporain, 2000 - books.google.fr). Amour et haine Gauvain représente pour Yvain l'erreur à vaincre pour reconquérir Laudine. En effet les retrouvailles des époux se situent après le combat Yvain-Gauvain. Yvain doit d'abord s'opposer à Gauvain avant de retrouver sa femme : on peut croire que pendant que les deux amis (Amors 6007) qui ne se reconnaissent pas (Haïne 6008) se battent, une psychomachie semblable entre Amour et Haine se déroule dans le cœur de Laudine. Le combat entre Yvain et Gauvain, soleil vrai et soleil apparent, soleil au zénith et soleil au nadir, est sans issue (6209 son paroil trové). On peut faire valoir que Chrétien n'a pas aimé décrire une véritable défaite du glorieux neveu d'Arthur. Tout comme dans Perceval. Chrétien semble porté par une sympathie, attendrie mais ironique, envers Gauvain. Mais tout comme dans Lancelot, il voit dans l'affrontement entre Gauvain et le protagoniste, des «aspects opposés et complémentaires de l'humaine condition...» et «établit une incontestable hiérarchie qui est inverse de celle du monde d'ici-bas» (Ribard, o.c., p. 62). Quoi qu'il en soit, reprenons le fil de notre raisonnement. Si Gauvain est l'alter ego d'Yvain, si Yvain est le dédoublement de Gauvain, appelé «soleil», Yvain pourrait nous apparaître comme un héros solaire. On peut d'ailleurs, dans le texte de Chrétien, indiquer encore plusieurs autres points qui semblent décrire Yvain ainsi. Pensons d'abord à sa rencontre avec le lion. Son lion est certainement un animal emblématique, puisque personne ne peut expliquer son apparition incongrue en Angleterre . D'une part sa crinière qui est son élément iconographique le plus important, rappelle le halo du soleil. D'autre part, en astrologie, le lion représente l'apogée de l'été : c'est le signe solaire par excellence, le signe «fixe» du plein été, du plein soleil. D'ailleurs Chrétien a déjà comparé Yvain à un lion au vers 3199, c'est-à -dire avant la rencontre avec le fauve. Mais il n'y a pas que le lion à faire d'Yvain un héros solaire. Si l'on est attentif à la chronologie, on remarque qu'Yvain part avec Gauvain une semaine après son mariage (2469 et 2576). Or il s'est marié à la Saint-Jean, c'est-à -dire le 24 juin, fête du solstice d'été. Il quitte donc sa femme aux environs du deux juillet, huit jorz aprés la Saint Johan (2576). L'an suivant, ce n'est qu'à la mi aost (2681) qu'Yvain se rend compte du délai outrepassé (2697-2703). La rupture dans le cycle divin du temps se situe ainsi dans le signe du Lion (Paul Verhuyck, Anneli Vermeer-Meyer, Le temps divin d'Yvain, Belgisch tijdschrift voor filologie en geschiedenis, 1982 - www.persee.fr). Deux foies Cuvelier, écrivain de la fin du 14e siècle auteur de la Chanson (ou Chronique) de Bertrand du Guesclin, mentionne deux duels auxquels participe Bertrand Du Guesclin, l'un à Rennes et l'autre à Dinan en 1356-1357, date de son passage à la notoriété guerrière (Jean-Michel Dasque, Du Guesclin, 2021 - books.google.fr). Malgré la violence de l'affrontement du premier duel, trois coups sont échangés sans aucune blessure des combattants. C'est le quatrième, proposé par Bertrand, qui s'avérera fatal : transpercé à proximité du foie et du poumon, Bamborough s'écroule de son cheval. Vainqueur, fêté par la foule des Rennais en liesse, Du Guesclin remporte avec lui le cheval de son adversaire et la reconnaissance de sa bravoure par le duc de Lancastre. Le second duel conté par Cuvelier épouse rigoureusement le même moule narratif. Le contexte n'en diffère que par le nom de la ville, Dinan substituée à Rennes pour un nouveau siège d'Henri de Grosmont, sans doute concomitant du premier et décidé pendant les premiers mois de 1357 pour couper les harcèlements réguliers qu'opéraient, sur ses arrières, les quelque 1.000 hommes d'armes et 500 archers qu'y avait postés le dauphin Charles. Durant ce second siège, cependant, une période de trêve suspend les hostilités, et Olivier Du Guesclin tout jeune frère du futur connétable que Siméon Luce signale comme archer à cheval de la compagnie de Jean Raguenel, stationnée à l'intérieur des murs, profite de l'occasion pour s'égayer dans les prés. Il croise alors un chevalier anglais de l'ost de Lancastre, Thomas, dit de Canterbury, que Cuvelier donne pour frère de l'archevêque de la prestigieuse abbaye, Simon Islep, et qui, découvrant son identité de frère d'un capitaine breton déjà célèbre, le capture à rançon de 1.000 florins. Un écuyer assiste de loin à la scène et s'empresse d'aller prévenir Bertrand près de Pontorson, où il est alors stationné. Bertrand se précipite au camp anglais, pour demander au duc réparation de l'injustice. Il le trouve sous sa tente à jouer aux échecs avec John Chandos, premier fidèle et conseiller du Prince noir, en compagnie du comte de Montfort, du comte de Pembroke et de Robert Knolles93. Le poète nous donne à lire un véritable florilège de générosité chevaleresque des chefs anglais : le duc lui souhaite la bienvenue et lui tend la main, tandis que Chandos lui fait servir de son vin, avant de lui promettre la délivrance de son frère. Chandos ira même, quelques instants plus tard, jusqu'à offrir à Bertrand de bonnes armes et un destrier de prix – « Bien armer vous ferai/Et riche destrier le tout meilleur que j'ai» déclare-t-il –, en préparation du duel qui s'annonce malgré tout. Car, sommé de venir s'expliquer, Thomas de Canterbury n'en reconnaît pas pour autant ses torts et pour se défendre des accusations de «vilenie» portées contre lui par Bertrand, le défie «au champ de bataille, corps à corps, pair à pair». L'ensemble de cette réaction chevaleresque et tout aristocratique de ces seigneurs témoigne d'une réelle conscience de classe : «dans ce club international de la chevalerie, la confiance et la solidarité morale opèrent au-delà des lignes ennemies», constate Richard Vernier en commentant l'épisode du don du coursier à Bertrand par Lancastre, en prologue au duel contre Bamborough, qui fait précisément écho au don de Chandos devant Dinan. Le rituel de la joute et du tournoi y participe, lui aussi, de même que la rhétorique poétique qui le décrit, cet ensemble de stéréotypes que l'écriture épique lui consacre systématiquement. C'est plus largement un ensemble de motifs strictement identiques qui relie le récit du duel contre Canterbury à celui de la joute contre Bamborough. Même acte de don liminaire, où le destrier de Chandos remplace le coursier de Lancastre. Même articulation du récit faisant se succéder un rôle «paternel» de protecteur joué par le capitaine de Rennes Tort Boiteux suspectant et prévenant une potentielle trahison des Anglais, puis un rôle «maternel», ou du moins féminin, s'inquiétant du sort du combat, joué tour à tour par la tante Thomasse de La Roberie et par la future épouse Tiphaine Raguenel. Le débat sur la malignité des Anglais reprend les mêmes termes, suscitant la même réflexion de Bertrand : «Par ma foi, dit Bertrand, je ne dois pas douter,/Car le duc de Lancastre est si gentil et bon/Qu'à nulle trahison ne daignerait penser.» Mais les Dinannais sont plus méfiants que les Rennais, et exigent que le combat se tienne sous leur vigilant contrôle à l'intérieur de la ville, proposant que le duc de Lancastre y pénètre avec une escorte de vingt ou trente Anglais et que des otages bretons soient auparavant livrés aux Anglais, en gage de sécurité. Conscient du risque d'accusation de trahison qu'une «bavure» anglaise ferait courir à son honneur, Henri de Grosmont accepte : «Par Dieu qui fit la mer !/Au marché de Dinan je vous voudrai mener./Là sera fait le champ, je m'y veux accorder.» Cette défiance mutuelle exacerbée et la plus grande prégnance de la question de la trahison et de l'honneur militent pour un épisode placé avant le duel contre Bamborough, et ne bénéficiant d'aucune expérience rassurante de l'impartialité de Lancastre, ainsi que le préconise Siméon Luce en se référant à la chronologie précise des événements. Historiquement pertinente, une telle inversion du récit rompt cependant sa progression littéraire, avec l'entrée en scène de Tiphaine Raguenel que le parallélisme narratif avec le duel contre Bamborough place d'emblée en équivalent de la tante Thomasse, figure tutélaire et substitut maternel des jeunes années de Bertrand. De Thomasse à Tiphaine, c'est une transition de la mère à la femme qu'organise le récit de Cuvelier, par ses effets de miroir et d'enchaînement savamment construits, d'un duel à l'autre, selon la chronologie personnelle de son héros. Le parallélisme joue cependant aussi de l'inversion entre Thomasse et Tiphaine : aux supplications inquiètes de la première s'oppose ainsi la prédiction confiante et joyeuse de «Tiphaine au clair visage», dame «inspirée/De la grâce de Dieu» dont le don de science «lui venait proprement par parole de fée». Tiphaine n'est pas dans la crainte, elle prêche l'espoir et la certitude de la victoire de Bertrand, ainsi qu'un écuyer qui l'a entendue le rapporte au héros : Elle disait tout haut : «Ne soyez pas méfiants Et soyez tous plutôt assurés de Bertrand, Car vous le reverrez ainsi le soir tombant, Sain et sauf, et en vie, à l'abri revenant, Et il déconfira son ennemi en champ.» C'est qu'en effet, refusant tout net les offres de médiation des chefs anglais Lancastre, Chandos et le comte de Pembroke, Bertrand se dirige, pour s'y faire armer, vers le lieu du combat, cette place du marché de Dinan qui porte aujourd'hui encore, en mémoire de l'événement, le nom de «Place du Champ Clos» et la statue du connétable (Thierry Lassabatère, Du Guesclin, 2020 - books.google.fr). Prez qu'il ne li perça le foie et le pomon; Du cheval tout navré l'abat i ou sablon, Puis saisi le cbeval, qui estoit bel et bon... (Cuvelier, Chronique de Bertrand Du Guesclin, 1839 - archive.org). Henri de Grosmont jouera également un rôle déterminant dans le déroulement de la campagne avortée du sacre, en 1359, dont il commandera l'une des trois chevauchées, en éclaireur des deux autres conduites par Edouard III et son fils le Prince noir, et plus encore dans la décision anglaise de traiter avec le dauphin Charles qui se soldera par le fameux traité de Brétigny (Thierry Lassabatère, Du Guesclin, 2020 - books.google.fr). Cf. quatrain III, 18 - Reims et le Jansénisme - 1717-1718, pour la tentative de sacre à Reims d'Edouard III qui était accompagné de sont fils le Prince Noir. Prince... Mars...", "Hay de luy..." : Edouard, son horoscope, Mortimer et Isabelle Le "Prince Anglois" pourrait être le roi Edouard III. Voyageant en France sous le prétexte d'une mission diplomatique, Isabelle entame peut-être une relation adultérine avec le baron de Wigmore, Roger Mortimer. Tous deux conviennent de déposer Édouard II et de se débarrasser de la famille Despenser. En 1326, la reine revient en Angleterre avec une petite armée de mercenaires. L'armée royale fait rapidement défection. Isabelle dépose Édouard II et devient régente au nom de son fils aîné, proclamé roi sous le nom d'Édouard III. Beaucoup supposent qu'Isabelle est par la suite l'instigatrice de l'assassinat de son mari. Le gouvernement d'Isabelle et de Roger Mortimer commence à chanceler, en partie à cause des dépenses excessives de la régente, en partie également à cause de sa façon, efficace mais impopulaire, de résoudre les problèmes récurrents comme la situation militaire en Écosse. En 1330, Édouard III s'empare du pouvoir et fait exécuter Mortimer. La reine n'est pas poursuivie et vit encore longtemps entourée de beaucoup de considération, mais loin de la cour d'Angleterre, jusqu'à sa mort en 1358. Au fil du temps, Isabelle devint une figure de «femme fatale» dans la littérature, habituellement représentée comme une femme belle, mais cruelle et manipulatrice (fr.wikipedia.org - Isabelle de France (1295-1358)). The horoscope of Edward III taken by Bruen from St George's chapel, Windsor, is not quite identical with that in MS Royal 12 F.xvii, but it shares the same ascendant and, evidently, the same tradition as to the time of the monarch's birth. As it stands, the horoscope of this highly-successful and admired king is so heavy with auspices as to appear contrived. The sun in the house of the ascendant is a mere thirty minutes past opposition with Jupiter, and 2° after opposition with the Lot of Fortune. In the same house, Mercury is in opposition to the Moon, who is 5° from her exaltation and, most significantly, Mars in his day domicile, Scorpio, is 2° after conjunction with Venus. (In the MS Royal horoscope, the conjunction is exact.) Mars, moreover, is the day lord and Venus the night ruler of the watery triplicity which includes Scorpio, and the ascendant lies in the finis governed by Mars. Ominously, Saturn is in his day domicile, Capricorn, but his virtue is impeded by his position in the weak second house ('cadens') and in the night half of the horoscope. In the seventh house, also known as the descendant or occasus, Jupiter is 1°30' from conjunction with the Lot of Fortune. We have already expressed the need for caution in the interpretation of astrological schemes without contemporary commentary. But generally the overwhelming dominance of Mars in the nativity cannot be gainsaid, nor the overall propitious force of the significators. Even on an unsophisticated reading of his horoscope, Edward III was assured by the stars of his success in battle, and the prosperity of his reign. It was a scheme worthy to be set in a window, and forms an interesting parallel to the Mercury Horoscope of Marcantonio Michiel of Venice (15 June 1527), or the horoscopes incorporated into the ceilings of a number of sacred and secular buildings of Renaissance Italy, most notably those executed for Agostino Chigi (b. 1 December 1466).” By analogy with these magnificent Italian schemes, we could see the horoscope of Edward III as an affirmation of the celestial bounty that attended his reign, and the supernatural concerns that consolidated their forces at his birth. As such, it would be a statement more typical of the fifteenth century, than of Edward III's own reign. From what we know already of Edward III's attitude towards astrology, it would be most uncharacteristic for him to have commissioned his own nativity, or to have displayed it in the royal chapel, and it is probably safe to conclude that none of these horoscopes has any direct, contemporary connection with the king. Rather they are evidence of the sentiment of a slightly later period, when the astrological indicators of a king's nativity, or those of his predecessors, were assumed to provide insights into his character and prospects. The scheme of the nativity of Edward, the Black Prince, in the same manuscript, is dated 15 June 1330 and is taken, allegedly, 'ex manuscripto veteri M. Allen'.” Thomas Allen (1542–1632) was a mathematician, collector of manuscripts, and astrologer to Dudley, Earl of Leicester, and Elizabeth I, and Ashmole possessed copies of a number of his astrological writings. 140 manuscripts once owned by Allen are now in the Digby collection in the Bodleian Library (Hilary M Carey, Florin Curta, Courting Disaster: Astrology At The English Court And University In The Later Middle, 1992 - books.google.fr, www.astrotheme.fr). Ironie de l'astrologie A la mort de Du Guesclin en 1380 à Châteauneuf-de-Randon, trois ans après la mort d'Edpouard III, les Anglais ne possédaient plus sur le continent que quelques villes maritimes, Calais, Bordeaux, Bayonne. Mais Charles V ne put achever la délivrance du royaume. Il mourut la même année que le connétable, attristé par trois grandes révoltes qui éclatèrent à la fois dans le Languedoc, la Flandre et la Bretagne et qui témoignaient de la fatigue et de l'épuisement du peuple (Encyclopédie théorique et pratique des connaissances utiles composée de traités sur les connaissances les plus indispensables, Tome 1, 1850 - books.google.fr). Cf. quatrain IX, 24 - Du Guesclin. Yvain de Galles Bien que l’histoire d’Owain (Yvain) ap Thomas ap Rhodri ap Gruffud ap Llewelyn-le Grand, le dernier descendant de la maison royale du Gwynedd (dans le nord du Pays De Galles) - se déroule loin du Pays de Galles, sur le continent européen, elle est néanmoins l’histoire d’une bataille pour le Pays de Galles. Yvain était le petit-neveu de Llewelyn II (le dernier du nom). Ce dernier descendant de la maison royale du Pays de Galles – une dynastie dont le pouvoir politique prit fin le 10 décembre 1282 – fut tué près de Bordeaux en 1378, par un agent secret anglais, alors qu’il combatit pour les Français. Né vers 1335, on a écrit de lui qu’il avait été envoyé en France tout enfant encore. Après une éducation militaire classique de cette époque, nous le retrouvons au service des Français à la bataille de Poitiers (Maupertuis) en septembre 1356, en tant que «chef de certains hommes d’armes» sur requête personnelle du roi de France Jean II. En 1365, après la mort de son père, Yvain vint en Angleterre, et peut-être au Pays de Galles, afin de réclamer son héritage. Quelques mois après, il retourna en France; il devait ne jamais revenir. L’importance d’Yvain en tant que chef militaire pour le roi de France est reflétée par le titre de Capitaine-Général qui lui fut décernée en 1369, lorsqu’une flotte et une armée furent mises à sa disposition afin qu’il envahisse et libère le Pays de Galles. Cette première tentative d’Yvain pour retourner chez lui fut déjouée par les féroces tempêtes hivernales et le projet fut abandonné. En 1370, au sud du Mans, à Pontvallain, Knolles fut défait par Du Guesclin, général en chef et connétable de France. Du Guesclin, avec Yvain sous ses ordres, reprenait l’un après l’autre tous les châteaux où les Anglais s’étaient réfugiés. En 1372, Yvain attaquait Guernesey afin d’en faire une base où il pourrait attendre le soutien naval castillan qui devait l’escorter jusqu’au Pays de Galles. Il quitta le siège du château Cornet, pour aller rejoindre la flotte castillane qui avait intercepté celle de Pembroke en route vers la Guyenne. La bataille étant terminé avant qu'il n'arrive, il se rendit à Santander où était emprisonné Pembroke. Aucune rançon ne fut jamais payée pour ce dernier et il mourut en captivité en 1375. Devant le peu d'enthousiasme des Espagnols pour l'aider à reconquérir le Pays de Galles, Yvain alla combattre en Poitou, en Saintonge et à La Rochelle qui fut prise par les Français. Au commencement de l’été 1375, les deux camps étaient épuisés. Une trêve d’un an fut négociée à Bruges, la guerre était donc momentanément arrêtée. Les hostilités franco-anglaises reprirent au printemps 1377. Un certain John Lamb se présenta avec des nouvelles du Pays de Galles, et désireux de prendre du service, Yvain l’accepta bien volontiers comme serviteur personnel. Ce serviteur, qui dira être envoyé par le duc de Lancastre Jean de Gand, l'assassina au siège de Mortagne en Aquitaine en 1378 (www.pays-royannais-patrimoine.com). Typologie Le report de 1717 sur la date pivot 1357 donne 998. Les Vikings sont de retour en Angleterre dans les années 990 et atteignent le Somerset, le Dorset et l'Île de Wight en 998 (Henrietta Leyser, A Short History of the Anglo-Saxons, 2016 - books.google.fr). Old Pretender Jacques François Édouard Stuart, dit le «chevalier de Saint-George» (10 juin 1688, palais St. James de Londres – 1er janvier 1766, palais Balestra, Rome), est prince de Galles en 1688, de sa naissance à la déposition de son père par le parlement. Il est le fils du roi Jacques II d'Angleterre et d'Irlande et VII d'Écosse (1633-1701) et de sa seconde épouse, la princesse Marie de Modène (1658-1718). Après 1701, il est surnommé par les whigs "The Old Pretender". Le traité d'Utrecht en 1713 engage Louis XIV à reconnaître la loi de succession anglaise et à ne plus soutenir de solution alternative, notamment les revendications jacobites. Il refuse la présence de Jacques François Stuart en France. Celui-ci trouve alors refuge, en février 1713, à Bar-le-Duc, capitale du Barrois, auprès du duc de Lorraine Léopold Ier et de ses parents, au château de Lunéville et à Commercy. En 1715, souhaitant profiter du mécontentement que suscite, après la mort de la reine Anne, dernière reine Stuart et autre demi-sœur de Jacques François, l'avènement de George Ier de Hanovre sur les trônes britannique et irlandais, les jacobites tentent un nouveau soulèvement avec le soutien de Henry Bolingbroke. Cette tentative, connue sous le nom de The Fifteen dans l'histoire britannique, est financée par l'Espagne et bénéficie du soutien français à défaut d'une aide officielle, mais lorsque Jacques François Stuart débarque en Écosse au nord d'Aberdeen le 22 décembre 1715, il découvre que l'armée levée par le comte de Mar, John Erskine, s'est en grande partie dispersée à la suite de la bataille de Sheriffmuir le 10 novembre. Malade, peu sûr de lui, Jacques François Stuart fuit à nouveau devant l'arrivée d'une armée britannique commandée par le duc d'Argyll alors qu'il préparait son couronnement comme roi d'Écosse. Il rembarque pour la France le 4 février 1716. Après cet échec, le «Vieux Prétendant» — ainsi qu'il est souvent désigné par l'historiographie whig, pour le distinguer du «Jeune Prétendant», son fils Charles Édouard Stuart — ne peut retrouver son refuge lorrain car une pression diplomatique s'exerce sur le duc Léopold. Jacques-Édouard est contraint aussi de quitter Avignon et se rend en Italie via les Alpes. Il trouve refuge à Rome en 1717, où le pape le loge au palais Muti et lui offre une garde personnelle et une pension jusqu'à sa mort. En 1719, une nouvelle tentative pour le restaurer, soutenue par l'Espagne, échoue : la flotte qui devait l'emmener est dispersée et détruite par une tempête au large du cap Finisterre tandis qu'en Écosse, une armée jacobite est écrasée durant la bataille de Glen Shiel, le 10 juin 1719. Cet épisode, baptisé The Nineteen est la dernière tentative de Jacques François Stuart de devenir roi. Son fils ainé Charles Édouard Stuart sera à la tête de la toute dernière tentative en 1745-1746, en tant que représentant de son père, sans plus de succès, du fait d'un soutien insuffisant des puissances continentales (fr.wikipedia.org - Jacques François Stuart). Mars La science de l'astronomie, que Paracelse proclame utile au médecin était entrée au XVe siècle dans l'enseignement officiel de la Faculté et les maîtres les plus célèbres en furent partisans. Les astrologues italiens combinant avec des données nouvelles d'astrologie judiciaire l'art ancien des Généthliaques, nous apportèrent l'horoscopie. Voilà en quoi consistait cette méthode : La sphère céleste, par la section de diamètres imaginaires verticaux et horizontaux, la terre étant prise comme centre, présentait quatre angles : 1° L'angle d'Orient ou horoscope qui signifie le commencement de la vie ou de toute œuvre ; 2° L'angle de la terre ou septentrion ; 3° L'angle méridional ou Cœur du Ciel ; 4° L'angle d'Occident qui signifie fin, mort. Avec ces angles, leurs cadentes et leurs succédentes l'astrologue formait des figures variées dans lesquelles il devait chercher le destin de l'individu dont il tirait l'horoscope (Théophile Perrier, La médecine atsrologique, 1905, pp. 44-45). Si Mars est au cœur du Ciel de quelque ville, il y fait les habitans seditieux, si Saturne y est, il les rend mecâniques & laborieux, & si les autres y sont, ils operent conformement à leurs qualitez (Jean B. Fayol, L'harmonie céleste, découvrant les diverses dispositions de la nature: ouvrage physique et mathématique, 1672 - books.google.fr). "Mars" et "fortune prospère" : Mar Après l'échec d'un projet d'insurrection en Angleterre, Jacques III reporta dès lors ses espoirs sur l'Écosse, où la rébellion avait pris une tournure beaucoup plus sérieuse. Au nord du mur d'Hadrien, le parti jacobite s'était donné pour chef un notable expérimenté, le comte de Mar, qui avait occupé des emplois importants sous le roi Guillaume et la reine Anne, en dernier lieu celui de secrétaire d'État pour l'Écosse. Personnalité ductile, il avait longtemps louvoyé entre Whigs et Tories, ce qui lui avait valu le surnom de Bobbing John («John le Flottant»). Ce ne fut qu'après avoir vu ses offres de service refusées par le roi George qu'il regagna l'Écosse pour prendre la tête des jacobites. Le 5 septembre, le comte réunit une assemblée clandestine de lairds et de chefs de clan dans ses domaines des Highlands. Le 17 septembre, au village de Braemar, il fit lever un drapeau portant les armes d'Écosse et le monogramme du roi Jacques : la rébellion avait commencé. Mar multiplia lettres, déclarations et manifestes en faveur de sa cause tout en commençant à rassembler une armée. Les clans des Highlands ne tardèrent pas à répondre à son appel et le 27 septembre la ville de Perth tomba au pouvoir des jacobites. Mais l'Écosse était loin d'être unanime en faveur de l'ancienne dynastie. Édimbourg et Glasgow, où le gouvernement central envoya rapidement des renforts, proclamèrent leur haine du «prétendant papiste». Par ailleurs, les navires chargés d'armes et de munitions que les jacobites avaient rassemblés au Havre et dans d'autres ports de la Manche ne furent jamais autorisés à appareiller : le Régent les fit décharger. Beaucoup de grandes familles se tenaient sur leur réserve ou étaient partagées. Une rébellion est un gros jeu : gagner, c'est tout gagner; perdre, c'est tout perdre. D'où les hésitations, les retournements de veste, le partage de certaines familles entre les deux camps afin de donner des gages des deux côtés. Pour contrer la rébellion, le cabinet de Londres envoya en Écosse le duc d'Argyll, chef du clan Campbell, qui avait servi en Flandre sous Marlborough puis commandé les forces britanniques en Espagne. Argyll arriva à Édimbourg le 25 septembre après six jours de marche forcée. La situation y était très dangereuse. Le 19 septembre, le château d'Édimbourg avait manqué de peu d'être pris par surprise. La rébellion s'étant rendue maîtresse de la quasi-totalité du nord du pays, Argyll rassembla son armée près de Stirling, position stratégique, car le pont de Stirling sur le Forth commandait le passage entre le nord et le sud de l'Écosse. Le 17 octobre, le troisième soulèvement prévu par les jacobites s'était déclenché en Northumberland. Trois possibilités s'offraient aux rebelles anglais : marcher vers le nord et prendre à revers le duc d'Argyll; descendre vers le sud, en espérant soulever les populations du Lancashire; rester sur place pour défaire les troupes fidèles au gouvernement central et s'établir solidement. Après une trop longue indécision, le deuxième parti l'emporta. Le 18 novembre, les jacobites arrivèrent à Lancastre. Leur choix se révéla malheureux. Si les gentilshommes catholiques se ralliaient à eux, les Tories restaient dans l'expectative. On se rendit compte alors qu'il y avait loin d'un toast à la santé du «roi au-delà des mers» à l'entrée en rébellion ouverte et que les Tories n'étaient pas d'humeur «à aventurer leurs carcasses plus loin que la taverne». De Lancastre, la petite armée jacobite descendit sur Preston, petite cité sise sur la rivière Ribble, et commit l'erreur de s'y retrancher en apprenant l'arrivée de renforts gouvernementaux. Elle laissa ainsi le temps aux forces loyalistes du Northumberland de rejoindre les troupes envoyées du sud par le gouvernement central et d'investir la ville. Le 25 novembre, après de durs combats, les jacobites capitulaient. La «bataille de Preston» n'avait pas été une bataille et à peine un siège; elle n'en fut pas moins sanglante : 42 tués et blessés chez les jacobites, 276 parmi les forces gouvernementales. Les 1.500 prisonniers étaient écossais pour les deux tiers. Pendant ce temps, en Écosse, Mar avait décidé d'emmener son armée vers le sud et de franchir le Forth. Le duc d'Argyll fit mouvement à sa rencontre et les deux armées s'affrontèrent sur le plateau de Sheriffmuir le 24 novembre. À 9.000 jacobites, Argyll opposait des forces trois fois inférieures, mais plus aguerries. L'engagement fut incertain, les deux généraux perdant rapidement le contrôle des opérations. À la fin de la journée, les pertes de l'armée régulière étaient supérieures, mais elle n'était pas détruite et les jacobites avaient dû renoncer à passer le Forth. Le moral des rebelles était atteint. On apprit bientôt qu'au nord les Whigs avaient repris le contrôle d'Inverness, la principale ville des Highlands. Les hommes des clans, découragés, commencèrent à déserter pour regagner leurs territoires ; des notables firent de discrètes ouvertures auprès d'Argyll pour négocier leur ralliement. Entre-temps, le Prétendant avait échappé aux assassins lancés à ses trousses par lord Stair et, après s'être caché plusieurs semaines à Dunkerque, avait pris la mer le 27 décembre. Mais quand il débarqua au nord d'Aberdeen, le 2 janvier 1716, sa cause était déjà perdue. Le cabinet britannique avait mis à profit la fin de novembre et les premières semaines de décembre pour envoyer des renforts et en particulier les fameuses troupes hollandaises prêtées par les Provinces-Unies. Il apparut bien vite que Jacques III arrivait de France sans troupes et sans munitions. Le 11 février 1716, le duc d'Argyll entra dans Perth, évacué la veille par les jacobites. Le 16 février, le Prétendant rembarquait pour la France, emmenant avec lui le comte de Mar. Le général Gordon, nommé commandant en chef de l'armée jacobite, n'eut plus qu'à négocier les termes de sa reddition. Tandis que les hommes des Highlands rentraient à peu près sans dommages dans leurs terres, les autres partisans de la cause jacobite devaient fuir pour échapper aux charges de haute trahison. Un certain nombre d'entre eux parvint à monter sur des frégates françaises qui les menèrent jusqu'à Göteborg, où ils entrèrent dans l'armée du roi de Suède. Le duc d'Argyll mit ses troupes en garnison dans le sud de l'Écosse, où elles se signalèrent par différents pillages et mauvais traitements. George Ier imposa une répression modérée. [...] L'échec du Fifteen – le «Quinze», pour désigner le millésime 1715, nom qui resta à la rébellion – démontra la la solidité de la jeune dynastie hanovrienne. L'amnistie décrétée par George Ier assura la réconciliation des Tories avec la Maison de Hanovre (Thierry Sarmant, 1715, 2017 - books.google.fr). L'expression "prosperous fortune" est employé par l'historien écossais William Russel (1741–1793) au sujet du fils de Jacques III (William Russell, The History of Modern Europe with a View of the Progress of Society from the Rise of the Modern Kingdoms to the Peace of Paris, in 1763, Tome 2, 1841 - books.google.fr). "duels" : deux batailles En France, les régiments jacobites étaient régulièrement le théâtre de meurtres, duels, évasions, désertions ou simplement d'absences sans autorisation, y compris parmi les officiers. [...] Mr Aldworth, qui avait été en France à Saint Germain sous le nom de Bernard plusieurs années, ne cachait pas ses penchants jacobites. Il avait reçu l'autoristion de revenir en Angleterre. Il fut M.P. pour New Windsor en 1712 et classé parmi les Tories en 1713. Ses prises de position lui valurent de nombreux duels; celui qui l'opposa au colonel Chudleigh, le 21 septembre 1714, lui fut fatal (Nathalie Genet-Rouffiac, Le grand exil: les jacobites en France, 1688-1715, 2007 - books.google.fr). The very year after George I became king a rebellion was raised in favour of the Pretender. The Earl of Mar gathered a number of troops in Scotland and the Pretender was proclaimed king there as James III. James himself then came from France and appeared in Scotland to uphold his claim. But things were badly managed by the rebels, they were beaten in two battles (Sheriffmuir near Dunblane and Preston in Lancashire) and the Pretender had to seek refuge in France once more; he never made another attempt for the crown. This rebellion encouraged the king's distrust of the Tories, since they were identified with the rebels, and made him put all his confidence in the Whig ministers. During the reign of George I a Norfolk squire, Sir Robert Walpole, became the principal man in the government. He was an ardent Whig in politics and his chief aim was to establish the House of Hanover firmly on the British throne (Margaret Elliot, Britain in modern times, 1953 - books.google.fr). "fiel" It has been well remarked, that in proportion to the desperate state of their master's affairs, the songs of the Jacobites used to become angry, bitter, and outrageous; this song affords evidence of the fact. It was written obviously just after the Revolution in 1688, and is accordingly full of gall and ill humour. It is, perhaps, one of the best specimens that remains of the spleen and intemperance of the enemies of the whigs (Robert Malcolm, Jacobite Minstrelsy, with notes illustrative of the text, etc., 1829 - books.google.fr). "sa mère" Mary of Modena (5 October [O.S. 25 September] 1658 – 7 May [O.S. 26 April] 1718) was Queen of England, Scotland and Ireland as the second wife of James II and VII. A devout Catholic, Mary married the widower James, who was then the younger brother and heir presumptive of Charles II. She was uninterested in politics and devoted to James and their children, two of whom survived to adulthood: the Jacobite claimant to the thrones, James Francis Edward, and Louisa Maria Teresa (en.wikipedia.org - Mary of Modena). La naissance de Jacques III a été présentée ironiquement par les opposants à la dynastie des Stuart comme miraculeuse et Marie de Modène comme une nouvelle Vierge Marie (Rachel Judith Weil, Political Passions: Gender, the Family, and Political Argument in England, 1680-1714, 1999 - books.google.fr). In a Christmas Ode, thought to be composed by Mother Mary Xaveria Burton (1668-1714), english nun carmelite in Antwerp : And you humble Virgin and all-powerful Queen, Now for the succour of all Christendom Apply the perfections of your lovely Son : But to England's monarch impart such a share As may his endeavours victorious declare : Let the adverse party, though numerous they, Know you, mighty Infant, that sceptre do sway... The 'England's Monarch' is James III, 'the Old Pretender', who was preparing to regain his throne by what is known to history as the 'Rebellion of 1715'; 'Her Highness' was Mary of Modena, always a friend to the Carmelites, and the 'little princess' was her daughter, Marie Louise (Anne Hardman, Two English Carmelites, Mother Mary Xaveria Burton (1668-1714) and Mother Mary Margaret Wake (1617-1678), 1939 - books.google.fr). Le "fiel" fait penser aussi à la crucifixion de Jésus fils de Marie (Matthieu 27,34 en référence au Ps. 68,11). Acrostiche : UVDH, uudh Mot du glossaire de la région du Somerset : "uudh'ur", other, either, any, a (Frederick Thomas Elworthy, The West Somerset Word-book : A Glossary of Dialectal and Archaic Words and Phrases Used in the West of Somerset and East Devon, Volume 35, 1886 - books.google.fr). Gorre est un royaume d'où l'on ne revient jamais; c'est donc un pays des morts. La capitale du royaume est Bade (identifié à Bath dans le Somerset) (Philippe Walter, Dictionnaire de mythologie arthurienne, 2015 - books.google.fr). Le Pays de Gorre est bien un royaume mythique, et que, contrairement à ce qu'ont avancé certains critiques, l'auteur en a parfaitement conscience. Mais c'est un Autre Monde à la mesure de celui-ci et fait à son image; cette ambiguïté même est la preuve de la fidélité de Chrétien à des sources d'origine celtique : le Pays de Gorre apparaît moins comme le monde des morts que comme celui où continuent de vivre ceux qui ont été arrachés à notre monde (Antoinette Saly, Image, structure et sens: Études arthuriennes, 2014 - books.google.fr). À la mort du roi Urien de Gorre, messire Yvain le grand, son fils préféra de rester auprès du roi Arthur et céda sa terre à son cousin Baudemagu (Jacques Boulenger, La Légende du Roi Arthur et les Chevaliers de la Table Ronde, 1922 - books.google.fr). Le roi Jean II, prisonnier du roi Edouard III, fut transféré du château de Somerton, dans le Somerset, à celui de Berkhamstead, dans le Hertford (Henri Moranvillé, Chronographia regum Francorum, Tome 2, 1893 - books.google.fr). The birthday of Old Pretender on 10 June was celebrated by widespread troubles in Somerset and the Midlands. Encouraged by these signs of support for the Stewarts the Duke of Ormonde, whose impeachment was voted by Parliament on 17 June 1715, moved out of London to Richmond, and began to make preparations for an uprising in the west.24 His idea was to start by gaining control of Plymouth, Bristol and Exeter; many of his assistants were Tory officers who had been turned out of the Army when the Whigs took office. Relays of horses were kept ready to take Ormonde from Richmond down to Devon when the right moment came for action. But the journey to Devon was never made : instead Ormonde emulated Bolingbroke and fled to France as soon as he heard that some Government troops were on their way to Richmond to arrest him. By that time few of the Jacobite plans were unknown in Whitehall, and steps were being taken to ensure that all further activities should be reported quickly to the Government. Ormonde fled on 21 July 1715; the next day Lord Stair in Paris was recording in his journal some comments on a letter he had recently received from Secretary Stanhope : 'He recommends me to save no pains nor expense to be well informed.' To assist Stair, whose mastery of intelligence in every field was formidable, was the ever-free tongue of Bolingbroke. With Ormonde's departure the leadership of the western Jacobites was taken by the Marquess of Lansdowne. A Jacobite arsenal was established at Bath, where there were collected three pieces of cannon, with the means of casting more, as well as eleven chests of firearms, and a hogshead full of basket-hilt swords. Further arms had been ordered from France. The plan of campaign at this time was for the rising to begin in several places in the West simultaneously, but for the centre of it to be at Bath. However, the fact that Ormonde had left no instructions before leaving for France meant that there was great confusion among the 'Jacks' about how to put their plan into operation. For a short while the Government was also at a loss, and the Cabinet was seriously alarmed that Ormonde might in fact have started the rebellion in the south-west (John Christopher Malcolm Baynes, The Jacobite Rising of 1715, 1970 - books.google.fr). |