Episcopat

Episcopat

 

VIII, 41

 

2060

 

Esleu sera Renard ne sonnant mot,

Faisant le saint public vivant pain d'orge,

Tyranniser après tant à un cop,

Mettant Ă  pied des plus grands sur la gorge.

 

Alexandre III

 

Le 7 septembre 1159, il est élu comme successeur du pape Adrien IV ; cependant, une minorité de cardinaux pro-germaniques élit le cardinal prêtre Octavien, qui prend le nom de Victor IV. Ce dernier, comme ses successeurs Pascal III (1164-1168) et Calixte III (1168-1178), reçoit le soutien de l'empereur.

 

En 1167, Alexandre III se rend ensuite à Anagni et Venise, et retrouve des appuis dans le nord de l'Italie. Les cités lombardes, qui s'étaient unies en janvier 1167 en une Ligue lombarde, infligent à Barberousse une sévère défaite à Legnano. L'empereur cède et reconnaît Alexandre III comme pape au traité de Venise en 1177. Le 12 mars 1178, Alexandre III rentre à nouveau à Rome, chassant l'antipape Calixte III, qui abdique quelques mois plus tard. En mars 1179, il réunit le IIIe concile du Latran, reconnu par l'Église romaine comme le onzième concile œcuménique ; il réussit à faire adopter plusieurs de ses propositions pour améliorer l'état de l'Église, dont la règle, encore en vigueur, de la majorité des deux tiers pour l'élection d'un nouveau pape (constitution licet de vitandia discordia). Ce synode marque l'apogée du pouvoir d'Alexandre III. En plus d'avoir fait céder Barberousse, il a humilié Henri II d'Angleterre dans sa confrontation avec Thomas Becket, archevêque de Cantorbéry, il a confirmé le droit d'Alphonse Ier du Portugal à la couronne, et, fugitif, il a joui de la faveur et de la protection de Louis VII de France. Néanmoins, peu de temps après la fin du synode, la république romaine le force à quitter la ville où il ne reviendra jamais. Le 29 septembre 1179, quelques nobles mettent en place l'antipape Innocent III. Utilisant judicieusement le pouvoir de la finance, Alexandre III revient au pouvoir. En 1181, il excommunie Guillaume Ier d'Écosse et jette l'interdit sur le royaume d'Écosse.

 

La devise qui lui est associée dans la prophétie de saint Malachie est «Ex ansere custode» (fr.wikipedia.org - Alexandre III (pape)).

 

Renard

 

En outre, des exĂ©gètes ont inventĂ© pour les besoins de la cause  des armoiries comportant tantĂ´t une tour, tantĂ´t une oie ; la tour de garde pour le mot custos et l'oie pour le mot anser. Voici les armoiries que l'on trouve rapportĂ©es dans plusieurs ouvrages sur la prophĂ©tie des papes : Premières armes : «Un franc quartier chargĂ© d'une tour de garde» ; Deuxièmes armes : «Parti au 1 d'argent Ă  une couleuvre ondoyante, au 2 de gueules Ă  une oie d'argent becquĂ©e et membrĂ©e d'or» (Jean-Charles de Fontbrune, Histoire et prophĂ©tie des papes: Fontbrune interprète de Malachie, 1984 - books.google.fr).

 

Alexandre III comme renard pourrait renvoyer Ă  une expression anglaise (anglophilie des auteurs des Centuries ?).

 

Renfermer le loup dans la bergerie, c'est, dans l'idée anglaise, mettre le renard gardien des oies (to set the fox to keep the geese) (Isaac Marcus Calisch, Proverbes et locutions familières en quatre langues: (français-anglais-allemand-hollandais), 1876 - books.google.fr).

 

La prophétie de saint Malachie ou prophétie des papes est un apocryphe en latin, ésotérique, de type prophétique et eschatologique, qu'une tradition populaire attribue à Malachie d'Armagh (1094-1148), évêque d'Irlande. Ce texte de cinq pages est publié pour la première fois en 1595 à Venise par le bénédictin flamand Arnold Wion, dans son ouvrage Lignum vitae. Il y affirme avoir découvert en 1590 une prophétie qui aurait été écrite par saint Malachie. Chaque devise de pape jusqu'à Urbain VII, pape du 15 au 27 septembre 1590, y est accompagnée d'un commentaire attribué à Alphonsus Ciacconius (fr.wikipedia.org - Prophétie de saint Malachie).

 

Nostradamus est mort en 1566.

 

Cf. l'acrostiche "qsll" "que sigue la linea" du quatrain VIII, 39.

 

"pied sur la gorge"

 

Sur des représentations peintes et sculptées, Alexandre III mettrait le pied sur la gorge de l'empereur Frédéric Barberousse (Cathédrale de Venise et Palais des Doges) après la bataille navale de Capo Salvore en 1177 (Joseph Barré, Histoire générale d'Allemagne, Tome 1, 1748 - books.google.fr).

 

Cependant, de tous les navires royaux, le plus fameux est sans contredit celui sur lequel le doge de Venise allait tous les ans, le jour de l'Ascension, Ă©pouser la mer. Un Ă©crivain italien, Luchini, nous apprend que ce bâtiment Ă©tait, au dix-huitième siècle, une haute et lourde galère Ă  deux ponts, couverte de bout en bout, ornĂ©e plutĂ´t qu'armĂ©e de deux Ă©perons, l'un au-dessus d'un autre plus court, et mue sur les eaux de la lagune par quarante-six rames, vingt-trois de chaque bord, sortant de larges sabords de nage. Le Bucentaure de 1177, le premier Bucentaure, celui qui devint traditionnel; et sur lequel le pape Alexandre III alla, avec les chefs du peuple de Venise, attendre au Lido SĂ©bastien Ziani, qui revenait vainqueur de la bataille de Capo Salvore, et ramenait Othon, le fils humiliĂ© de l'empereur FrĂ©dĂ©ric Barberousse, n'avait sans doute que de lointains rapports avec celui de Luchini. Dans son ArchĂ©ologie navale, Jal a dĂ©montrĂ© que c'Ă©tait une galère de celles qu'on appelait bucentaures, galère plus grande que les subtiles (galères Ă©troites) ordinaires. Cette galère-bucentaure, qu'on avait parĂ©e, pour la circonstance, des plus riches atours, fut probablement mise en rĂ©serve dans l'arsenal pour ne servir que le jour de l’Ascension de chaque annĂ©e, ou les jours des grandes fĂŞtes religieuses et politiques. La prĂ©sence du pape et d'Othon Ă  son bord l'avait comme consacrĂ©e. Quand l'âge l'eut rendue incapable de flotter encore, on dut la remplacer, et l'on construisit un navire qui avait quelque chose de la galère, mais qui Ă©tait, par sa distribution supĂ©rieure, plus appropriĂ© au service qu'on en attendait. Ce service consistait principalement dans la cĂ©rĂ©monie des Ă©pousailles de la mer, et dont voici l'origine. Lorsque Ziani fut de retour, Alexandre III prĂ©senta un anneau d'or au vainqueur en lui disant : «Servez-vous-en comme d'une chaĂ®ne tenir les flots assujettis Ă  l'empire vĂ©nitien; Ă©pousez la mer avec cet anneau ; et que, dĂ©sormais, tous les ans, Ă  pareil jour, la cĂ©lĂ©bration de ce mariage soit renouvelĂ©e par vous et vos descendants. La postĂ©ritĂ© saura par lĂ  que vos armes vous ont acquis le vaste empire des ondes, et que la mer vous a Ă©tĂ© soumise comme l'Ă©pouse l’est Ă  l'Ă©poux.» «Chose inouĂŻe que d'Ă©pouser la mer! s'Ă©crie HĂ©lian, ambassadeur de France près la Diète germanique, dans un discours restĂ© cĂ©lèbre. C'est une invention digne de ces baleines insatiables, de ces infâmes corsaires, de ces impitoyables cyclopes et polyphèmes qui assiègent la mer de tous cĂ´tĂ©s, et qui y sont maintenant plus Ă  craindre que les monstres marins, les bancs, les Ă©cueils et les tempĂŞtes... » Quoi qu'en ait pensĂ© HĂ©lian, tant que la rĂ©publique exista, le Bucintoro figura dans la solennitĂ© commĂ©morative du mariage de l'Adriatique avec le doge et lors des entrĂ©es des rois et des princes. Ainsi, en 1477, il alla chercher Catherine Cornaro qui revenait de Chypre, son royaume perdu : au seizième siècle, il porta le duc d'Anjou, roi de Pologne et futur roi de France, dans une promenade sur la lagune ; il fit plusieurs autres voyages de cette espèce (LĂ©on Renard, L'art naval, 1881 - books.google.fr).

 

Boniface VIII est celui dont Benvenuto d’Imola a dit : «Il est montĂ© sur la chaire de saint Pierre comme un renard, il a rĂ©gnĂ© comme un lion, il est mort comme un chien.» (Leconte de Lisle, Histoire populaire du Christianisme, 1871 - fr.wikisource.org).

 

"pain d’orge"

 

Après des études de droit canonique à l'université de Bologne, il enseigne cette matière d'abord à Bologne, puis à Pise. Il compose la Stroma ou Summa Magistri Rolandi, l'un des premiers commentaires du Décret de Gratien (fr.wikipedia.org - Alexandre III (pape)).

 

Les collections canoniques apparaissent au IVe siècle et trouvent une sorte de couronnement dans le Décret de Gratien qui, vers 1140, constitue la Somme du droit canonique médiéval. [...] Le Décret de Gratien, ici comme en bien d’autres domaines, s’inscrit dans la ligne d’une longue histoire. Mais il porte aussi les germes d’une grande mutation. Fidèle au passé, il admet largement les références bibliques. Marqué par les thèses que développent depuis un siècle les collections grégoriennes, il fait de Rome l’arbitre du droit. Une hiérarchie des sources s’affirme qui, sans écarter le recours à la Bible, met au premier rang le pontife romain (Jean Gaudemet, 4. La Bible dans les collections canoniques In : Formation du droit canonique et gouvernement de l’Église de l’Antiquité à l’âge classique, 2008 - books.openedition.org).

 

"et offeret oblationem pro illa decimam partem sati farinae ordeaceae (Nombres)" (QUESTIO V, C. XXI) (www.koeblergerhard.de/ - Decretum gratiani).

 

Le Décret de Gratien met le point final à l'époque préscolastique, fixant définitivement le statut du pain et du vin mêlé d'eau, seuls admissibles pour la célébration (Revue théologique de Louvain, Volume 33, 2002 - books.google.fr).

 

La grosse dîme se perçoit sur l'orge, l'avoine, le seigle, l'épeautre, les pois et les vesces. La petite sur le foin, le lin, les semences, les moutons, les poules, les oies et les agneaux (Denise van Derveeghde, Le domaine du Val Saint-Lambert de 1202 à 1387: contribution à l'histoire rurale et industrielle du pays de Liège, 1955 - books.google.fr, fr.wikipedia.org - Dîme).

 

Les gros bĂ©nĂ©ficiaires qui dimaient sur la paroisse, abbĂ©s et Ă©vĂŞques notamment, versaient au curĂ© de quoi vivre dĂ©cemment (tous les pasteurs et ministres de l'Église ne sont-ils pas Ă©gaux entre eux ?). La «portion congrue» tenait sa justification de la première Ă©pĂ®tre aux Corinthiens dans laquelle saint Paul dĂ©clare : «Le Seigneur a ordonnĂ© que ceux qui annoncent l'Évangile vivent de l'Évangile.» Elle avait Ă©tĂ© instituĂ©e par les conciles de Latran tenus, l'un, sous Alexandre III (1167), l'autre, sous Innocent III (1215). Exempte de toutes charges, elle venait hors novales, menues et vertes dĂ®mes (AndrĂ© Neurrisse, 2000 ans d'impĂ´ts, 1995 - books.google.fr).

 

Nous trouvons dans la vie du pape Adrien Ier (772), des détails fort curieux sur le menu de celles qui se faisaient sous le portique de l'église du Sauveur, plus connue sous le nom de St Jean de Latran. On ne saurait douter que la charité d'abord, ensuite le danger d'exciter des rivalités entre les paldo vies, avaient fait adopler ailleurs les mêmes bases de répartition; "Ce bienheureux pape, dit Anastase, établit quatre nouvelles fermes (domos cultas). L'une d'elles, appelée capreorum, élait située sur le territoire de Vigentum, à environs quinze milles de Rome... Par un privilége apostolique, sous la redoutable sanction de l'anathème, Adrien stalua que celle maison avec toutes ses dépendances, ses manoirs, ses terres labourables, ses plants de vigues et d'oliviers, ainsi que ses moulins, resterait à perpétuité à nos frères; que le froment et l’orge qui y seraient récoltés annuellement, seraient portés avec soin dans le grenier de notre église et placés à part; que le vin et les légumes qui en proviendraient seraient également transportés dans le cellier de ladite église, et conservés de même à part. De plus on devait tuer annuellement cent des porcs qui seraient engraissés dans les chênaies. Sa Béatitude ordonna sous les plus fortes obligations et les plus sévères interdictions, que cent de nos frères des pauvres de J.-C. et même davantage, seraient chaque jour réunis dans l'église patriarchale de Latran; qu'ils se placeraient sous le portique situé près de l'escalier qui monte à l'église, et où les pauvres sont inscrits. Il y aurait cinquante pains, pesant chacun deux livres, deux décimates de vin, contenant chacune soixante livres (mesures), et une chaudière pleine de viandes cuites. La distribution devait être faite tous les jours, par les soins du plus fidèle cellerier. Chacun des pauvres devait recevoir la moitié d'un pain, une portion de vin, c'est-à-dire, une coupe lenant deux verres, et enfin une portion de la viande préparée. Le pape ordonnait en même temps et promulguait, d'accord avec le collége sacerdotal, qu'aucun des revenus de cette terre, de quelque nature qu'ils fussent, ne seraient employés à d'autres usages qu'à la nourriture journalière des pauvres, et cela à perpetuité" (Alexandre Tollemer, De quelques oeuvres de miséricorde dans les premiers siècles du Christianisme, Tome 1, 1853 - books.google.fr).

 

Politique poursuivit par le pape Alexandre III :

 

Un'altra d’Alessandro III. ove si approva la ricuperazione d'alcuni poderi, e mulini appellati del Lago, col peso di pagare ogni anno alla Camera Apostolica otto moggia di grano, e altrettante d'orzo, e due some di vino; ed ella incomincia: Alexander Episcopus Servus Servorum Dei. Dilectis filiis Johanni Lateranensi Priori, ejusque Fratribus Regularem vitam professis salutem o Apostolicam Benedictonem. Licet ex iniuncta nobis &c. e finisce. Datum Signie per manum Alberti S. R. E. Presbiteri Cardinalis & Cancellarii quarto idus Auguli Indictione XII. Incarnationis Dominice Anno MCLXXIX. Pontificatius vero Domini Alexandri Pape III. Anno vigesimo (Giovanni Mario Crescimbeni, L'Istoria della Chiesa di S. Giovanni avanti Porta Latina, 1716 - books.google.fr).

 

Le troisième concile de Latran, tenu sous Alexandre III en 1179, et le quatrième, tenu sous Innocent III en 1215, les mêmes qui donnèrent le coup mortel aux épreuves ou jugements de Dieu, condamnèrent définitivement le combat judiciaire dans toute l'étendue de la chrétienté. Cependant plusieurs bulles papales du seizième siècle fulminèrent de nouveau contre le duel, et même contre les fauteurs et les simples spectateurs, ce qui prouve la persistance du combat judiciaire (L.J. Koenigswater, Du serment, des ordalies et du duel judiciaire, Revue de législation et de jurisprudence, Volume 40, 1850 - books.google.fr).

 

Quelques auteurs ont voulu faire venir le mot ordalie de ordeum, orge. Sans doute l'épreuve par le pain d'orge était une ordalie, mais elle n'était pas la seule. D'ailleurs la vraie orthographe du mot orge, en latin, est hordeum, et nulle part ordalie ne s'est écrit avec une h initiale (Fernand Nicolaÿ, Histoire des croyances: superstitions, moeurs, usages et coutumes (selon le plan du décalogue), 1907 - books.google.fr).

 

Ne pourroit-on point aussi dire que ordela & ordalium venoient de ordeum, qui signifie orge, & que l'on appella d'abord ordalie, la purgation vulgaire qui se faisoit par le moyen d'un morceau de pain d'orge que l'on faisoit manger Ă  l'accusĂ©, dans la persuasion oĂą l'on Ă©toit que s'il Ă©toit coupable, ce morceau de pain l'Ă©trangleroit ? & il se peut bien faire que dans la suite l'on appella ordalie, toute autre purgation vulgaire qui Ă©toit faite Ă  l'instar de celle du pain d'orge (EncyclopĂ©die, ou Dictionnaire raisonnĂ© des sciences, des arts et de mĂ©tiers, N-PARI, 1765 - books.google.fr).

 

Typologie

 

Le report de 2060 sur la date pivot 1177 donne 294.

 

La catacombe porte le nom du diacre Calixte qui, au début du IIIe siècle, fut chargé par le pape Zéphyrin de l'administration du cimetière. Zéphyrin meurt en 217 et est le premier pape à y être enterré. Calixte lui succède et devient le pape Calixte Ier. C'est ainsi que la catacombe de Saint-Calixte devint le cimetière officiel de l'Église de Rome. Cette catacombe est composée d'un ensemble de plusieurs cryptes dont la plus connue est la Crypte des Papes, découverte en 1854 par Giovanni Battista de Rossi, qui accueillaient à l'origine les dépouilles de neuf souverains pontifes du IIe siècle. On trouve à l'intérieur cinq salles décorées de fresques sur lesquelles sont dessinées des peintures représentant des scènes de prière, de pénitence, de baptême. Il y a aussi la salle diacre Sévère contenant une écriture datant de 298, où l'évêque de Rome y est appelé pour la première fois «Pape»

 

Caïus (28e pape de 283 à 296) y fut inhumé. Ses reliques auraient été transférées dans deux endroits de Rome : la basilique San Silvestro in Capite et une chapelle privée des Barberini (la basilique de Saint-André de la vallée). On lui attribue le décret en vertu duquel personne ne peut accéder à l'épiscopat sans avoir reçu les ordres de portier, lecteur, acolyte, exorciste, sous-diacre, diacre et prêtre. Il a également divisé les quartiers de Rome parmi les diacres (fr.wikipedia.org - Catacombe de Saint-Calixte).

 

Au concile de Latran III (1179), le pape Alexandre III avait rappelĂ© avec beaucoup de fermetĂ© les conditions que devait remplir le candidat Ă  l'Ă©piscopat : ĂŞtre âgĂ© de 30 ans minimum, «nĂ© de lĂ©gitime mariage» et ayant fait preuve de vita et scientia commendabilis. Dans le cas oĂą un candidat ne rĂ©pondant pas Ă  ces conditions serait Ă©lu, non seulement tous les clercs qui auraient concouru Ă  cette Ă©lection perdraient leur droit d'Ă©lire, mais encore se verraient privĂ©s pendant trois ans de leurs bĂ©nĂ©fices (AndrĂ© Gouron, Alexandre de Saint-Gilles et la Lectura Codicis d'Azon, Ă€ cheval entre histoire et droit. Hommage Ă  Jean-François Poudret, 1999 - books.google.fr).

 

Au-dessus de la porte d'une chapelle de la catacombe de saint Calixte, dans une galerie voisine, une peinture représente des animaux, renards ou léopards. Dans une autre région de la même époque on a trouvé une inscription (aujourd'hui au Latran) qui donne la date par le nom du pape Libère (Giuseppe Ripostelli, Orazio Marucchi, Via Appia a l'epoque romaine et de nos jours: histoire et description, 1908 - books.google.fr).

 

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